Une jeune femme qui croyait qu’on pourrait encore circuler seule à Calais, avec Valls et Taubira aux affaires, vient d’être victime d’une agression sexuelle et d’un vol par un groupe organisé de trois criminels étrangers, ceux que leur République appelle des « migrants » pour faire oublier qu’ils sont des envahisseurs, parfois déjà délinquants voire criminels de droit commun dans leurs pays d’origine respectifs.
À demi étranglée, vicieusement palpée et volée en prime, cette étudiante n’a pas, de fait, droit à la « liberté de circulation des personnes » que leur « Union européenne » a accordé à toutes les mafias sur notre territoire, mais que les Français se voient dans l’impossibilité d’exercer dans leur propre pays, ou alors en s’exposant à ce type de mésaventure devenue monnaie courante !
Bien conditionnée – ou manipulée par les faussaires de Nord littoral – elle a pourtant défendu les criminels :
« Je suis la première à les défendre, à dire que leur vie n’est pas facile. […] Je les vois encore… Je crois que je suis encore sous le choc, je n’ai pas encore réalisé que j’ai eu de la chance. On se dit toujours que ça n’arrive qu’aux autres… Mon bus était en retard, j’ai raté mon train. […] Il y avait des migrants en retrait, sur un carré d’herbe. Je ne faisais pas attention à eux. Ensuite, j’ai senti qu’on m’attrapait le bras, ils m’ont collée contre le mur. L’un a fouillé mon sac, il l’a vidé à terre. Un autre m’a attrapée à la gorge pour que je ne bouge pas et m’a touché le haut du corps »
Après avoir évoqué les autres agressions sexuelles, elle précise :
« J’étais tétanisée, je ne savais pas quoi faire. Il a déboutonné mon jean et ensuite ils sont partis quand l’autre avait fini de fouiller mon sac. Ils m’ont volé l’argent liquide que j’avais et un paquet de cigarettes. Ils sont sortis du côté de l’hôtel Métropole… »