Le repos sabbatique bientôt imposé sur tout le territoire ? Après avoir obtenu la destruction du repos dominical, l’occupant s’active maintenant pour la reconnaissance du shabbat pour tous.
« On travaille plus le dimanche, moins le samedi »
explique l’Insee, selon France (sic) Inter.
En 1986, 36 % des personnes en emploi travaillaient le samedi, contre 30 % en 2010. À l’inverse, en 1986, 13 % des personnes en emploi travaillaient le dimanche, contre 17 % en 2010, 31 % avec les travailleurs occasionnels.
L’offensive n’est pas récente : l’interdiction de l’école le samedi date de septembre 2007. Xavier Darcos avait « décidé la suppression des cours du samedi matin pour tous les élèves du primaire ».
Il ne s’agissait bien entendu pas de se plier aux interdits du Talmud, non :
« Cette décision met fin à une situation incohérente, source de nombreux problèmes pour tous les parents. Les heures de cours ainsi libérées profiteront aux élèves les plus en difficulté à travers un accompagnement personnalisé à d’autres moments de la semaine »
C’est simplement par hasard que la décision allait justement dans le sens des extrémistes juifs qui exigeaient depuis des années la fin des examens et des cours le samedi pour leur permettre de célébrer leurs rites.
L’université s’est pliée depuis longtemps à la loi juive. Quand, exceptionnellement, des examens ont été programmés un samedi ces dernières années, le Lobby les a fait annuler ou déplacer. Ce fut le cas il y a quelques mois à Paris XII. La date d’un examen fut repoussé à la dernière minute. La direction de la faculté refusa de s’expliquer. Devant le mécontentement des étudiants, elle finit par l’avouer : les extrémistes juifs avaient obtenu que l’examen soit repoussé car la date coïncidait avec une obscure fête juifiste.
« On s’est renseignés auprès de l’administration, qui nous a avoué que c’était à cause de fêtes religieuses. C’est incroyable. En cours, on nous rabâche les principes de laïcité, d’égalité mais ils n’existent pas en droit à Paris-XII. »
avait témoigné une étudiante. Par peur des représailles, elle avait demandé à ce que nom soit modifié.
« J’ai pris des billets d’avion pour l’étranger. Je ne peux pas me faire rembourser. Je fais comment ? »
se désolait une autre étudiante.
« On se retrouve avec quatre partiels le même jour. Avec des décisions pareilles, on peut facilement nourrir l’antisémitisme »
avait conclu une troisième.
Le doyen de la faculté de droit, ça ne s’invente pas, était alors Jean-Jacques Israël.
Les musulmans et les juifs nous nous crachent dessus. Nous allons réagir pour que la France qui n’est : ni judaïque, ni islamique, ni laïque la france est catholique !! !