À la « Commission économique de la nation », ont été nommés, par arrêté de leur ministre Macron – arrivé tout droit de la banque financiariste Rothschild – des cosmopolites libre-échangistes qui n’ont jamais travaillé dans une entreprise, mais ont vécu des subsides publics pour dire des « y a qu’à » et des « faut qu’on »… en prétendant toujours être dans le vrai.
Par ordre alphabétique :
1. L’ « économiste keynésien »… allemand Peter Bofinger.
2. La harvardienne Julia Cagé, que quelques citations, pourtant toutes issues d’un même article de La Tribune, suffiront à présenter :
« Oui, la France est en train de se désindustrialiser. Mais non, ce n’est pas grave. En fait, c’est tant mieux. »
Les millions de chômeurs apprécieront !
« On érige (un peu trop) souvent l’Allemagne en exemple. Mais si notre voisin se porte si bien quant à ses exportations, c’est en partie parce qu’il a délocalisé une part de sa production (…) »
La loi Rothschild-Macron en discussion au Parlement va déjà plus loin puisqu’elle prévoit d’alléger les obligations des employeurs pour le reclassement des salariés dans leurs établissements à l’étranger, « l’inversion de la courbe du chômage » étant repoussée sine die. On peut donc dissoudre cette commission !
« Mais se lamenter (sic) face à la désindustrialisation, c’est donner à la droite un bâton pour se faire battre »
Économiste ou politicienne, la Cagé ?
« Dans la nouvelle division internationale du travail, ce ne sont plus des biens industriels que la France doit chercher à exporter, mais de l’éducation, de la santé (comme le souligne Philippe Askenazy dans son dernier livre) et des idées. Laboratoire, université, hôpital du monde (sic). Inventer, éduquer, soigner. La France retrouvera ainsi un équilibre (…) »
Politicienne mondialiste !
3. Le Tunisien à l’avant-garde de leur République Daniel Cohen, officier de la Légion du déshonneur et salarié de la banque juive Lazard, où il encaisserait entre un et deux millions d’euros annuels selon Médiapart, dix fois moins selon l’intéressé, affirmation qu’il n’a jamais tenté, à notre connaissance, de prouver. Cet éminent de leurs « spécialistes » avait annoncé dès 2008, alors invité de son coreligionnaire Alain Minkowski dit « Minc », que la crise était terminée… prouvant au passage, soit son incompétence, soit qu’il réserve ses vrais bons conseils à la seule Banque Lazard au profit de laquelle il contribuerait ainsi à tromper les anticipations économiques des autres.
Etc. Et ils sont quatorze comme ça !