Il a alors sorti au moins un long couteau qu’il portait sur lui, sans qu’il soit possible de savoir s’il a fait usage du second couteau qu’il transportait, et frappé les militaires. Deux d’entre eux ont été blessés, au visage et au bras, légèrement selon le représentant du gouvernement d’occupation, qui envoie des Français veiller à la sécurité d’étrangers juifs, non seulement au détriment de la sécurité des Français, mais encore en transformant nos soldats en cibles pour les étrangers islamistes.
Après son attaque, il a été interpellé avec l’aide de deux agents du tramway passant à proximité et d’un troisième homme. Voilà où ont conduit 70 ans de politiques pro-israéliennes combinées à 70 ans de multiculturalisme et d’encouragement à l’invasion, des politiques incarnaient parfaitement autant par Manuel Valls que par Christian Estrosi – qui se vantait il y a quelques jours d’avoir fait adopter par le conseil municipal un Patriot act liberticide dont chacun peut aujourd’hui constater l’efficacité.
L’individu qui a agressé les militaires s’appellerait Moussa Coulibaly, mais sans lien avec le tueur de l’Hypercacher. Il a tenté de rejoindre la Syrie et a été expulsé la semaine dernière de Turquie ; il avait été signalé par les autorités françaises, après avoir été repéré à l’aéroport d’Ajaccio (Corse). Signalé pour son comportement prosélyte agressif, il avait été entendu par la DGSI (Direction générale de la Sécurité intérieure). Entendu libre, il était reparti libre, sans la moindre charge retenue contre lui. Les enquêteurs n’ont pas trouvé le moindre indice pouvant laisser penser qu’il était dangereux. Il n’a fait qu’être « entendu » par les services de renseignements avant d’être libéré et de pouvoir préparer cette attaque. Ces faits démontrent une nouvelle fois la totale inadaptation des services de leur République qui traquent les nationalistes mais laissent les terroristes les plus dangereux en liberté.
Moussa Coulibaly est un multirécidiviste, condamné à six reprises entre 2006 et 2011 (refus d’obtempérer, vol, outrage et rébellion, usage de stupéfiants, dégradation), sans jamais faire un jour de prison. Il habite dans le quartier envahi du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie où il est né en 1984, et où la police mène des perquisitions ce soir.
Un deuxième individu, avec lequel il se trouvait peu avant l’agression, a été arrêté.
Cette attaque a été perpétrée alors que les chiffres de la délinquance à Nice ont été publiés, révélant une très forte hausse des crimes et des délits dans les « zones de sécurité [sic] prioritaires (ZSP) », avec, au total, une hausse de +22,6 %, avec une hausse des violences volontaires de 10 %. Une criminalité quotidienne qui touche, parfois mortellement, les Français et qui n’est habituellement pas même évoqué dans les médiats locaux.