Une jeune mère de famille anglaise symbolise le racisme antiblanc en action à travers l’Europe. Sammie Sunter, mère de deux jeunes enfants, est locataire dans un appartement à Willenhall, à Conventry. Mais les criminels africains qui occupent l’immeuble, protégés par l’ensemble du système, médiats, politiciens et policiers, font tout pour la faire partir, agissant comme des centaines de milliers de leurs congénères qui ont épuré ethniquement des quartiers entiers de France, d’Espagne, de Belgique, de Suède ou de Grande-Bretagne.
La famille blanche a été visée par diverses attaques : sa porte d’entrée a été recouverte d’excréments. Des tags racistes et insultants ont été peints et des menaces directes ont été lancées contre la jeune femme, oralement comme par écrit. Dans une lettre, les colons noirs affirment que l’immeuble n’est que « pour les sœurs et les frères noirs » [« for black sisters and brothers »]. Dans une autre, elle est dessinée au bout d’un fusil. Un autre texte affirme : « Willenhall est noir, alors va te faire foutre » [« Willenhall is black so fuck off »]. D’autres la pressent de partir « sinon… » : la menace, dans un pays où le viol et le meurtre des Blanches par les étrangers sont devenus une tragédie quotidienne, est claire.
Dans leurs insultes et leurs menaces, les criminels utilisent encore des mots tels que « oyinbo », un mot qui, dans ce qui sert de langage à ces infrahumains, est utilisé pour insulter les Européens.
Les faits ne sont pas nouveaux : l’association qui gère ces logements a reconnu que de précédents locataires avaient déjà été la cible d’attaques similaires. Mis à part de vagues déclarations, la police laisse faire et n’a procédé à aucune action – quand bien même ils le voudraient, les policiers seraient bien incapables de lancer le mouvement qui verra la délivrance de nos terres.
La jeune Européenne se plaint d’avoir été contrainte d’expliquer à son fils ce qu’était le racisme – le vrai racisme :
« Cela est tout simplement inacceptable. Je lui ai dit qu’il semblait que celui qui est responsable est africain. Il voulait savoir pourquoi ils nous haïssent. Il ne comprenait pas vraiment. Si nous sommes égaux qu’est-ce qui donne à la personne responsable le droit de faire cela ? Je lui ai dit que celui qui était responsable allait être puni, mais qui sait si cela arrivera »
se demande la jeune mère de famille n’ayant visiblement pas compris la réalité du génocide en cours contre les Blancs en Europe.
En attendant, les criminels africains ont gagné : Sammie Sunter va déménager et abandonner les lieux à une nouvelle famille d’envahisseurs. Elle abandonne sur place un vieil homme blanc, le dernier survivant européen du quartier.
« Je ne vais pas rester là et subir. J’ai dû avoir une escorte de police depuis chez moi et je savais que j’étais surveillé. On se tient la tête haute, mais ceci est ignoble. »
« Whitefriars [la société qui gère les appartements] fut les premières personnes que j’ai appelées quand cela est arrivé et quand j’ai pu parler à quelqu’un, ils m’ont dit qu’ils ne pensaient pas que cela se reproduirait. Je pense qu’ils ont permis que cela se produise. Si cela est déjà arrivé et qu’ils ont négligé de me dire, alors ils ont mes enfants et moi en danger »
a encore déclaré Sammie Sunter, sans se rendre compte que non seulement la société de location, mais les policiers, les journalistes, les politiciens locaux et nationaux savent parfaitement le sort réservés aux Blancs dans les quartiers envahis et laissent faire quand ils n’encouragent pas le racisme antiblanc par la repentance, les mensonges historiques, la propagande et le lavage des cerveaux des Européens.