Le 12 avril 2009, un commando de terroristes juifs appartenant à la Ligue de défense juive (LDJ) attaquait un spectacle propalestinien qui se déroulait au théâtre Adyard, dans le VIIe arrondissement de Paris. L’événement rassemblait chanteurs et artistes pour récolter de l’argent au profit des enfants de Palestine. Comme à leur habitude, les terroristes juifs attaquèrent lâchement, armés, en groupe : ils foncent sur un individu isolé près du public qui fait la queue pour entrer dans le théâtre et le rouent de coups à quinze contre un, avant de s’en prendre un homme venu à son secours.
« Tiens, c’est pour Gaza »
« Sale Arabe »
« Nous les juifs, on t’enc****, sale race »
« A mort les Arabes, vive Israël ! »
Deux personnes sont blessées avant que les Juifs ne fuient.
« Ils sont arrivés par-derrière et nous ont frappés sans raison apparente. J’ai reçu des coups au visage, à la tête, au niveau des deux jambes. À un moment je suis tombé au sol et j’ai reçu des coups sur la tête. Ils ont cessé quand ils ont vu que je ne bougeais plus. Ils avaient terminé »
raconte un Maghrébin frappé ce jour-là. L’une des racailles juives est identifiée par plusieurs témoins, obligeant les policiers à l’interroger. « Jason T. » dénonce alors rapidement dix de ses congénères qui ont participé à l’attaque, dont la plus plupart a déjà été condamnée à plusieurs reprises.
Finalement seules quelques racailles sont mises en examen pour violences en réunion à caractère raciste, mais pas toutes, certaines y échappant comme par miracle malgré leur très lourd passé judiciaire, les preuves réunies par les policiers, les témoignages et les aveux. D’autres seraient réfugiées en Israël, où ils ont eu tout le temps de fuir grâce à la complicité des ministères de la Justice et de l’Intérieur. L’affaire date du début de l’année 2009. Bientôt six ans après, la justice n’a programmé aucun procès contre ces terroristes, qui sont connus, dont elle a les aveux et contre lesquels il y a plusieurs dizaines de témoins.
Depuis quarante ans, les criminels juifs ont multiplié les exactions sur le territoire national, avec la bénédiction de leur République. Les patriotes ont été les premières et les plus importantes victimes de ces terroristes étrangers, depuis l’assassinat de François Duprat en 1978 jusqu’à l’attaque des Amis de Saint-Loup, les agressions commises lors de la Fête de Jeanne d’Arc en 1988, etc. Dans aucune de ces affaires, aucun criminel n’a jamais été condamné. Certains, comme Meyer Habib, sont même désormais parlementaires du régime.
Au dessus c’est le soleil… Intouchables!