Pascal Terrasse, maçon cumulard
Pascal Terrasse est un politicien qui a toujours vécu de la politique, comme directeur de cabinet du secrétaire d’État Robert Chapuis – ce franc-maçon élu également en Ardèche qui a eu comme assistant parlementaire un troisième membre de la secte, Manuel Valls – avant que sa loge ne lui offre un siège de conseiller général puis de député.
Comme de tradition chez les frères affairistes, il cumule les postes et les fonctions : député, président de conseil général (il a été contraint à la démission en 2012), il est ou fut membre des conseils de surveillance du fonds de financement de l’allocation personnalisée d’autonomie, de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale, de la Caisse nationale de l’assurance vieillesse des travailleurs salariés et du Conseil d’orientation des retraites, mais aussi du conseil d’administration de la caisse de retraite complémentaire Ircantec, secrétaire général de l’Assemblée parlementaire de la francophonie (APF), intervient régulièrement à Sciences Po Paris, préside la commission d’information locale de la centrale nucléaire de Cruas ou le syndicat mixte chargé de la réalisation de la réplique de la Grotte Chauvet.
L’incident de Saint-Montan
Hier, alors que les Français subissaient des centaines d’agressions violentes, notamment commises par des étrangers, la presse n’a évoqué que le cas de ce député qui a été sermonné par un citoyen à Saint-Montan.
« Je viens éradiquer le réseau maçonnique international ! »
a lancé le citoyen français peu avant une réunion publique du député de la secte affairiste. Certaines sources prétendent que le militant antisecte aurait de plus souffleté le politicien avant de lui infliger un coup de tête antimaçon.
Pascal Terrasse : un républicain exemplaire
Abandonnant tout esprit de fraternité et de tolérance, Pascal Terrasse a immédiatement déposé plainte. Celle-ci devrait être examinée plus attentivement par la police politique maçonnique que les faits révélés par Mediapart en 2012 contre ce républicain exemplaire.
Preuves à l’appui, le journal avait montré comment l’affairiste maçon finançait ses dépenses privées avec son indemnité représentative des frais de mandat (IRFM) de député. Comme Jérôme Lavrilleux, comme Thomas Thévenoux, comme Patrick Balkany, comme Serge ‘Dassault’ Bloch il est toujours, trois ans plus tard, membre de leur parlement.