Le 12 janvier 2013, Nicole Chatelain avait été agressée en pleine rue, devant un immeuble du centre-ville d’Angers. Cette Française de 60 ans avait été égorgée par l’étranger Samir-Adam Hassan. Elle fut assassinée dans son propre pays, en rentrant tranquillement du marché, par un tueur soudanais importé par leur République antifrançaise. Le crime s’était déroulé devant plusieurs dizaines de personnes. Le port d’armes n’étant autorisé en France qu’aux criminels et interdit aux honnêtes gens, personne n’avait pu intervenir pour sauver la malheureuse. Alors que des policiers tentaient d’interpeller l’assassin, il avait agressé les fonctionnaires violemment, obligeant l’un d’eux à ouvrir le feu.
Le meurtre, bien loin de l’acte d’un « fou », avait été prémédité : Samir-Adam Hassan avait pris soin de préparer deux armes. Surtout, il n’avait pas massacré au hasard : la victime avait été chef de service dans une association d’insertion, Promojeunes, qui gérait un centre d’hébergement. Or, les Français avaient payé pour l’hébergement du tueur soudanais dans ce même centre. Nicole Chatelain y gérait les entrées et les sorties des individus accueillis. L’égorgeur connaissait donc parfaitement sa victime et l’a probablement guettée.
Malgré l’ensemble des éléments accablants – autant pour le Soudanais que pour leur Système immigrationniste – Samir-Adam Hassan ne sera jamais jugé. Les proches de Nicole Chatelain, la société française n’obtiendront jamais justice. Aucun procès public ne sera organisé pour démêler les responsabilités dans ce drame, notamment celle de leur République.
De prétendus « experts psychiatriques », les mêmes qui font relâcher régulièrement des criminels récidivistes affirmant qu’ils ne sont plus dangereux et qui commettent de nouveaux crimes dès leur sortie, par trois fois, ont prétendu que Samir-Adam Hassan a eu son discernement « aboli ».
Il devrait être interné dans un hôpital psychiatrique quelques mois ou quelques années, avant de pouvoir s’enfuir ou d’être libéré par des « experts » et de recommencer.
Ces faits ne seront jamais pris en compte dans aucun rapport sur « l’immigration ». Au-delà de la mort d’une Française que rien ne peut réparer, ni les centaines d’heures d’enquêtes policières et judiciaires, ni le coût des expertises médicales et psychiatriques, ni le coût de l’enfermement du tueur, des personnels des établissements hospitaliers et pénitentiaires où il a été accueilli, ni la nourriture qu’il y recevra durant des années ne seront jamais comptabilisés.