« “Humilié et anéanti”, Joël Legendre suspend ses activités ». À lire les titres des journaux, il semblerait que Joël Legendre, « artiste multidisciplinaire », doubleur de la voix de Leonardo di Caprio, présentateur vedette de la radio canadienne, acteur de théâtre, animateur pour des émissions pour enfants, soit victime d’attaques aussi injustifiées que violentes. Mais l’individu, qui est également metteur en scène, chanteur, humoriste et animateur du Téléthon au Canada, est surtout un activiste homosexualiste, l’une des figures de proue du mouvement asocial canadien. Il est par ailleurs le « père » d’un Asiate de Mongolie adopté il y a onze ans. L’année dernière, il est devenu le « père » de deux malheureuses jumelles qu’il exhibe régulièrement comme des trophées sur les réseaux sociaux.
Loin d’être une « victime », il vient d’être condamné – très faiblement, à moins de 500 dollars canadiens d’amende – pour s’être masturbé dans un parc… devant un homme qui s’est révélé être un policier en civil. Le parc Marie-Victorin est tristement célèbre pour être un lieu de rendez-vous pour pervers homosexuels. Un fait que le médiatique inverti avanit prétendu ne pas connaître – mais c’était quand il niait l’ensemble des faits.
Non content d’être un pervers sexuel dégénéré, ce haut cadre de la caste médiatique a encore menti durant plusieurs jours, niant totalement les faits avant d’affirmer avoir simplement uriné. Bénéficiant de très imposants relais médiatiques, il s’est lamenté, affirmant n’être que la victime d’injustes attaques.
Il a fini par reconnaître les faits, en se faisant, par réseaux sociaux interposés, passer pour une victime auprès de ses nombreux fans, qui ont repris depuis plusieurs jours les mensonges de leur « idole ». Ces derniers lui ont déjà pardonné ses mensonges, aussi vite qu’ils lui ont pardonné d’utiliser les parcs publics pour s’exhiber et d’agir comme un animal ennemi de toute civilisation.