Le gouvernement avait commandé à l’automne dernier à des « experts » et surtout des activistes pro-invasion et antifrançais un rapport sur les « discriminations [sic] au travail » dans le cadre de l’élaboration de la loi de modernisation du dialogue social.
S’ils rejettent le CV anonyme, les auteurs promeuvent de nombreuses mesures pour accélérer encore le remplacement des Français par les colons au sein des administrations comme des entreprises privées. Ils demandent l’instauration d’actions de groupe, que le gouvernement a déjà annoncé, préconisant de :
« définir une nouvelle voie de recours collectif ouverte, après échec du processus de dialogue social sur ce thème, à toute partie ayant intérêt à agir (associations et organisations syndicales) […] permettant à la fois la cessation de la pratique discriminatoire, la sanction, si nécessaire de cette pratique, et la réparation des préjudices subis par les victimes ».
Les inspecteurs du travail devraient encore, selon le rapport, se transformer en guépéistes traquant les patrons embauchant trop de Blancs compétents et travailleurs. Pour affirmer cette volonté raciste antiblanche – essentiellement, même si les rapporteurs, pour se couvrir, évoquent les « discriminations » liées à l’âge, au sexe ou fondées sur le handicap –, ils demandent de faire de la lutte contre les discriminations « une priorité nationale d’action en 2015-2016 ».
Les recommandations vont dans le sens d’un dirigisme étatiste totalement voué à la destruction du peuple français. Les auteurs du rapport demandent encore au gouvernement d’occupation d’« engager des travaux sur la faisabilité de la mise en place d’un dispositif permettant d’assurer la traçabilité et la transparence des procédures de recrutement ».
Les racailles dans les cités, pour faire embaucher les pires membres de leurs gangs, comme « ouvriers » ou comme « agent de sécurité », ont longtemps pratiqué l’agression, l’incendie, le pillage. Ils offraient ensuite leurs services aux sociétés qui devaient, bon gré, mal gré, faire appel à eux pour pouvoir continuer à travailler. Grâce à Manuel Valls, ce pourrait beaucoup plus direct avec la présence d’un membre de SOS-Racisme, de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) ou du Conseil représentatif des institutions juives de [sic] France (CRIJF) lors des séances d’embauche que la discrimination contre les Français pourrait être établie.