Les mesures favorables aux cités occupées de France ne cessent de s’accumuler, les milliards d’euros pris aux Français pour favoriser les étrangers de défiler, mais ce n’est jamais assez. Les deux têtes de l’exécutif de leur République ne manquent jamais une occasion de parader au milieu des occupants des cités, méprisant les Français.
Ce fut encore le cas en fin de semaine quand Manuel Valls est allé « en banlieue » annoncé un vaste plan pour financer le racisme antiblanc à hauteur de 100 millions d’euros et la criminalisation des pensées dissidentes. Ce fut également le cas dimanche lors des deux heures de propagande offertes par Vivendi à François Hollande sur Canal+ : aucun lycéen d’Ardèche, de Vendée ou de l’arrière-pays provençal ne fut interrogé. C’est un lycée « multiculturel » qui fut choisi par les conseillers du président pour représenter la jeunesse française (sic). Les lycéens prétendument rebelles furent néanmoins soigneusement choisis. Depuis les reptations des deux individus ne cessent pas.
Lundi, François Hollande a fait la promotion d’une « marque » issue des cités occupées, Wrung. L’entreprise de « streetwear » a été visitée par le président de leur République, au ravissement des médiats du système.
« Après son passage dans le branché Supplément de Canal+, François Hollande prend le tournant du Hip Hop pour soutenir un fonds d’investissement, Impact Partenaires. […] Après une présentation des locaux à L’Haÿ-les-Roses, dans le Val-de-Marne, et de la nouvelle collection de la marque, François Hollande paraphera des accords avec le fonds d’investissement Impact Partenaires, qui dit investir “dans des entreprises développant un impact remarquable en termes d’emplois dans les zones urbaines défavorisées, d’insertion, de handicap et d’apprentissage” »
Les zones rurales défavorisées et les zones urbaines prétendument « favorisées » (sic) attendront. Il est à noter une fois encore qu’il s’agit largement de surcroît d’une escroquerie, puisque l’entreprise est dirigée par Romain Cholleton et Eric Le.
Manuel Valls, lui, veut intégrer dans les écoles des cours dits « d’improvisation théâtrale » à l’image des « projets » de Jamel Debbouze.
« Où le pouvoir socialiste flatte les amuseurs et artistes de gauche qui lui rendent la pareille. […] Le président de la République, qui n’avait sans doute alors rien de plus urgent à faire, s’est rendu, au mois de février 2014 à Trappes, à un match d’improvisations théâtrales organisé par Jamel Debbouze. Et, surprise totale, il a beaucoup apprécié ! Qu’on en juge : “Un moment très authentique… d’échange… un grand moment d’improvisation… une surprise totale”. Dans le Magazine culturel L’Œil, Manuel Valls refuse de croire “au divorce entre la gauche et la culture” puis déclare qu’il pense “à intégrer l’art de l’improvisation que porte Jamel Debbouze à l’école” »
dénonce un éditorialiste du Figaro, rappelant que, le hasard faisant bien les choses, Jamel Debouzze est l’un des derniers étrangers à soutenir encore le PS et François Hollande. Le clientélisme socialiste mérite bien quelques improvisations.