Pour protester contre un nouveau crime terroriste islamique commis en avril dernier par Sid Ahmed Ghlam et qui avait conduit à la mort d’une Française, Aurélie Châtelain, un groupe avait incendié un lieu de culte islamiste de Pargny-sur-Saulx. La cible n’avait pas été choisie au hasard puisqu’elle est fréquentée par des proches du tueur, sa compagne, mais aussi sa sœur qui y donne des « cours ». Cela avait été évoqué par un reportage diffusé à la télévision le 23 avril.
C’est en visionnant ce dernier qu’un homme révolté par les crimes islamistes aurait lancé, durant un repas alcoolisé, l’idée d’une action punitive. C’est la version de l’accusation, qui affirme qu’il avait entraîné avec lui quatre personnes, dont son fils. Ils ont été mis en examen hier à Châlons-en-Champagne.
Si les juges rouges se montrent d’une extrême complaisance avec les trafiquants de drogues étrangers et les notables pédocriminels, ils infligent à ces cinq Français un traitement très violent : deux d’entre eux ont été incarcérés, et l’un des deux mineurs impliqués a été envoyé dans un centre éducatif fermé, celui de Sainte-Ménehould, dans ces centres bien connus pour être des lieux où les racailles sont laissées libres de faire ce qu’elles veulent, y compris se droguer, avoir des relations sexuelles ou agresser les rares Français qui s’y trouvent. Un quatrième mis en cause a été placé sous un strict contrôle judiciaire ; le sort du cinquième n’était pas connu hier soir.
Le lieu de culte islamiste, dans une France officiellement en crise du logement où l’argent des Français est volé pour construire des logements aux étrangers et où les squatteurs de toutes races ont tous les droits, était installé dans un pavillon détourné de sa vocation du petit village de Pargny-sur-Saulx.