Le bilan et l’analyse des crimes et des délits enregistrés par la police et la gendarmerie en 2017 présentés par le ministère de l’Intérieur, est particulièrement accablant pour le gouvernement et Gérard Collomb – comme il l’était pour tous les ministres de l’Intérieur de la République laxiste et immigrationniste qui se sont succédés à cette fonction depuis des dizaines d’années. Selon ce rapport, le nombre de violences physiques et sexuelles constatées par les forces de sécurité est en forte augmentation.
Hausse des violences contre les goys
En 2017, les morts violentes restent à un niveau relativement élevé après deux années affectées par des attentats terroristes ayant fait de nombreuses victimes : il y a eu 825 victimes d’homicides en 2017 (dont 3 victimes d’attentats terroristes), après 892 en 2016 et 872 en 2015. Hors attentats, les homicides sont d’ailleurs en augmentation.
Dans le même temps, le nombre de victimes de coups et blessures volontaires criminels ou correctionnels sur personne de quinze ans ou plus enregistré par les forces de sécurité a connu une quatrième année de hausse en 2017 (+4 %), plus sensible encore que l’année 2016 écoulée. Leur niveau approche désormais les 223 000 victimes, chiffre record de ces dix dernières années.
Concernant la violence liée à des vols, pour la quatrième année consécutive, les vols avec arme et les vols violents mais commis sans usage d’une arme sont en léger recul dans les données enregistrées par la police et la gendarmerie. Ensemble, ces vols représentent environ 95 000 infractions enregistrées par les forces de l’ordre en 2017, dont 86 800 pour les vols violents sans arme.
En revanche, concernant les vols sans violence à l’encontre des personnes, l’enquête « Cadre de vie et sécurité » fait apparaître une baisse du nombre de victimes jusqu’en 2016. En 2017, le nombre de victimes de vols sans violence contre des personnes, enregistrées par les forces de sécurité, a très légèrement augmenté pour approcher 710 000. Leur croissance de 2008 à 2017 a été de 20 %.
Dans le domaine des violences sexuelles, l’enquête de victimation de l’Insee montre que le nombre de crimes et de délits n’augmente pas depuis 10 ans. Mais l’enquête « Violence et rapports de genre » (Virage), conduite en 2015 par l’Institut national d’études démographiques (Ined), établit que 1 million de femmes sur un an étaient alors visées par des actes de harcèlement sexuel, que ce soit dans les espaces publics, au travail ou dans les études. Au travail, 1 femme sur 40 occupants un emploi était victime d’atteintes de cette nature.
Le gouvernement abandonne les autochtones à leur sort
Mais alors que les Français, autochtones sur leur propre sol, sont encore et toujours plus la cible des violences pour lesquelles il n’y a – évidemment – aucune enquête ni statistique sur l’origine, la communauté ou la « culture » des agresseurs, le Premier ministre d’Édouard Philippe a annoncé un énième « Plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme » le 19 mars dernier.
Et jusqu’au 25 mars , le gouvernement par le biais de la DILCRAH, véritable Tchéka du judaïsme politique en charge de la censure des opinions et du lavage de cerveau des Français, avait lancé sa « semaine d’éducation et d’action contre le racisme et l’antisémitisme ».
Forte baisse des « actes antisémites et racistes »…
Pourtant, le ministère de l’Intérieur a publié le 31 janvier un bilan recensant tous les actes racistes en 2017 sur le territoire, notant qu’ils avaient globalement diminués !
Dans le détail, ce sont les actes antimusulmans qui ont connu la plus forte baisse (-34,5%, avec 121 faits), selon le communiqué du ministère de l’Intérieur. Les actes racistes au sens strict (hors actes antisémites et antimusulmans) ont également connu un repli (-14,8%, avec 518 faits), tout comme les faits antisémites (-7,2% avec 311 faits).
Mais les lieux de cultes chrétiens sont principalement visés !
En revanche, concernant les atteintes aux lieux de cultes, l’immense majorité des actes ciblent les lieux chrétiens avec 878 faits constatés en 2017, même si on constate une baisse par rapport à 2016 (- 7,5 %).
Et contrairement au battage médiatique systématique chaque fois qu’un lardon est repéré à proximité d’une mosquée, la diminution est encore plus importante en ce qui concerne les lieux de culte et les cimetières musulmans selon le bilan officiel (-15%, avec 72 faits).
On mesure bien à la lecture de ces chiffres la partialité de l’engeance médiatico-politique en place qui pousse de hauts cris d’orfraie pour 72 atteintes aux lieux musulmans par an. Alors que dans le même temps 15 profanations d’églises ou de cimetières sont commises chaque semaine (878 par an soit 2,5 par jour) et sont passés sous silence ou leur caractère sacrilège ou antichrétien niés…
Quant aux atteintes aux synagogues ou carré juif dans les cimetières, leur nombre est certes en hausse de 22% en 2017, mais leur nombre en valeur absolue reste marginal (28 faits), une paille en regard toujours des profanations antichrétiennes en France !
La petite communuaté organisée, l’aristocratie de leur République…
Et cette réalité n’empêche par le gouvernement de cette république d’abandonner les fils et filles de France à la merci de leur bourreau, en concentrant tout son intérêt, son attention et sa protection aux ressortissants des minorités étrangères et communautés organisées occupant le territoire national (et auxquelles on doit une large part de la criminalité constatée !) :
« Cette baisse globale [des actes racistes et antisémites] ne doit cependant pas masquer l’augmentation des faits d’actions violentes dirigées contre les minorités qui sont toutes en hausse, à l’instar de celles dirigées contre les musulmans (de 67 à 72) et contre les Juifs (77 à 97). Toutes ces actions constituent de véritables insultes à la République, qu’il nous faut sanctionner et continuer de combattre sans relâche. » (Communiqué du ministère de l’Intérieur du 31 janvier)
Et le président de leur République Emmanuel Macron de monter au créneau le 29 janvier pour rassurer une certaine petite communauté, leur confirmant que « c’est toute la République qui se dresse particulièrement aujourd’hui au côté des Français de confession juive pour combattre avec eux et pour eux chacun de ces actes ignobles ».
Il était d’ailleurs rejoint par son premier ministre, qui ne veut pas être en reste, dès le 31 janvier, qui affirmait devant l’Assemblée nationale qu’il existe « une nouvelle forme d’antisémitisme violente et brutale qui s’exprime de façon de plus en plus ouverte sur notre territoire ».
Pour notre part, nous disons avec Pierre Sidos, « l’antiracisme, voilà l’ennemi » et nous appelons tous les Français non-reniés à nous rejoindre pour combattre les coteries et se libérer de leur« police de la pensée » !