Une fois encore, le libéralisme a tué. L’ouverture des frontières, la négation des spécificités (et tares) mentales, culturelles des étrangers, la négation des identités, ont conduit à la mort d’un Français, victime du multiculturalisme et de l’invasion.
Jean Moritz possédait un magasin de farces et attrapes à Louvroil, dans le nord de la France. Son corps avait été découvert à l’intérieur de son commerce incendié. Alors que rapidement police et justice évoquaient la possibilité d’un suicide, la famille avait rejeté cette ignoble présomption et affirmé qu’il s’agissait d’un crime déguisé en mort volontaire.
Il a fallu quatre années aux services spécialisés pour enfin parvenir à l’arrestation d’un suspect. Ce dernier est sans surprise le criminel maghrébin Youssef T. (les médiats complices ont refusé de donner la totalité de son identité, protégeant une fois encore les assassins de notre peuple). Cet étranger de 42 ans n’est pourtant pas inconnu des services de police. Il a été condamné en 2013 pour vol aggravé. De plus, son fils avait menacé la victime peu avant les faits.
Mariée, la victime avait une cinquantaine d’années quand elle a été tuée par un étranger imposé sur notre sol par un gouvernement criminel.
« Youssef T. prétendait ignorer avant le meurtre la relation amoureuse entre Sylvie F. et Jean Moritz. Pourtant, son fils n’ignorait pas cette relation amoureuse puisqu’il n’hésitait pas à menacer Jean Moritz par voie internet quelques jours avant le meurtre »,
a précisé le procureur de Valenciennes, selon lequel les mensonges répétés du criminel étranger ont convaincu les enquêteurs de sa culpabilité.