Après avoir validé le jumelage entre la ville Marocaine Kenitra et Bergerac, Daniel Garrigue et son fidèle poulain Adib Benfeddoul, poursuivent leur politique pro-musulmans.
Le 25 juin dernier, les deux larrons ont vendu un terrain communal à l’association culturelle Marocains de Dordogne (MD), pour construire une mosquée à Bergerac.
Toute la ville est au courant (ou au coran), mais il est bon de rappeler certains faits et de faire quelques liens que la presse locale se garde bien de dire.
Tout d’abord, le vice-président de l’association culturelle Marocains de Dordogne, Abdellah Habboub, dans un entretien à Sud Ouest, déclare que la mairie ne leur a fait aucune faveur. Premier mensonge : le terrain est coté à 35 euros du mètre carré, et Daniel Garrigue leur vend pour 20 euros du mètre carré ! 6 000 m2 pour 125 000 euros ! Pas de faveur vous dites ? …
Abdellah Habboub poursuit en disant que ce sont les fidèles de la mosquée qui ont financé cet achat, soit 147 fidèles qui auraient financé 125 000 euros… Vraiment ? Et pour bâtir la mosquée ensuite, les fidèles vont aussi payer ?
Il m’est plutôt d’avis que de l’argent du Maroc a bien été investi ici.
Il s’agit d’une hypothèse, mais qui semble tout à fait valable, étant donné les contacts entretenus entre les Marocains installés en France – cela est valable pour les autres pays – et leur contrée d’origine, parfois avec les autorités de ces pays, parfois avec des groupes terroristes richement dotés. Ainsi, la mosquée de Périgueux, capitale de la Dordogne, fut accusée dès 2009 de financer le voyage en Tunisie aux plus virulents des fidèles pour qu’ils aillent s’entraîner au ‘djihad’… Ce ne sont pas quelques centaines de milliers d’euros qui seront durs à trouver là-bas…
Les deux conseillers FN de la mairie se sont opposés à la vente de ce terrain, mais le conseil a validé.
À présent, faisons l’état des lieux : début juin, Daniel Garrigue et Adib Benfeddoul valident le jumelage avec la ville marocaine d’où est originaire Benfeddoul, ajoutant au jumelage des « accords commerciaux », nous le savons aujourd’hui, cette ville de 420 000 habitants va donc à moyen terme, investir à Bergerac (30 000 habitants, 20 % de taux de chômage) et aura donc un pouvoir de pression sur les décisions locales, dans une logique de marché libéral.
Fin juin nos deux compères vendent au rabais un terrain de 6 000 mètres carrés à l’association culturelle Marocains de Dordogne, pour y construire une mosquée, rue du Tounet, à Bergerac.
Pour finir, ajoutons que le vice-président des Marocains de Dordogne, a déclaré :
« Souvent, comme pour le ‘ramadan’ en ce moment, il y a du monde tard le soir et les voisins qui veulent dormir la fenêtre ouverte sont gênés. On embête tout le monde »,
en parlant de leur local de prière actuel.
Mais quid des riverains de la rue du Tounet ? Ne seront-ils pas eux aussi « embêtés » ? Certains, qui ont grandi dans ce quartier, y ont leurs amis, leurs souvenirs d’enfance sont là, qui ont acheté (pas au rabais, eux) et bâti leur maison, le travail de toute une vie, ici parlent maintenant de vendre. Avant que le prix de l’immobilier ne chute trop, à cause de la présence de cette mosquée…
Gageons qu’il y aura des musulmans pour racheter avec joie !
Ce petit quartier deviendra un quartier musulman de plus en France, et la chapelle liée à tant de souvenirs d’enfance pour les autochtones, sera remplacée par une mosquée. La population française va encore reculer, pour laisser la place aux étrangers.
Rappelons que pour l’école sainte-Jeanne-d’Arc de la fraternité Saint Pie X à Bergerac, si des agrandissements de locaux sont évoqués, immédiatement les voix de gauchistes hystériques s’élèvent pour parler d’« obscurantisme », d’« inquiétudes » , d’« extrémisme », etc. Eux n’« embêtent » pourtant personne.
Il ne reste plus qu’à la mairie de Bergerac de souhaiter un bon ‘ramadan’ à tous, et un bon déménagement pour les riverains de la rue Tounet.
M. le maire, Daniel Garrigue, et vous, son adjoint, Adib Benfeddoul, les Bergeracois se souviendront de vous.
[Addenda : une pétition a été mise en ligne pour exiger la cessation des manœuvres]