En France, en 2015, leur République est au sommet de son exemplarité. Le corrompu juif multicondamné Patrick Balkany-Smadja est député de leur assemblée antinationale et maire de la ville de Levallois-Perret. En plus de ses crimes passés – commis avec son épouse notamment –, il est actuellement visé par plusieurs enquêtes pour des faits extrêmement graves de concussion. Il est mis en examen pour corruption passive, blanchiment de corruption et blanchiment de fraude fiscale notamment. Malgré cela, cet avant-gardiste très proche de Nicolas Sárközy est toujours député et membre du parti Les Républicains (LR) qui, de toutes les tares de l’UMP, a particulièrement tenu à conserver sa tolérance envers la corruption.
Il aurait pu, au contraire, perdre son titre de maire ; leur République aurait pu montrer qu’elle n’était pas totalement vérolée.
Mais de façon guère surprenante, le préfet des Hauts-de-Seine Yann Jounot, qui dépend de Manuel Valls et Bernard Cazeneuve, censés être et des adversaires politiques de l’étranger juif Patrick Balkany, et des adversaires de la corruption, en lien direct avec le conseil des ministres à qui avait été transmise la demande, a refusé de le révoquer de ses fonctions de maire.
« À ce stade de l’affaire, le préfet écarte la possibilité d’une révocation »,
a dénoncé le secrétaire général de l’Association des contribuables de Levallois-Perret (ACLP) Sébastien Blanc. Il avait rappelé que les condamnations précédentes et les mises en examen actuelles avaient conduit à une situation dans laquelle les époux corrompus n’avaient plus « l’autorité morale nécessaire à leur fonction ». Ce n’est pas l’avis de leur République, pour laquelle la moralité républicaine implique au contraire d’être corrompu.
Si Manuel Valls a des rapports privilégiés avec la « communauté » – quand même ! – c’est également le cas de Yann Jounot qui, il y a quelques mois, convoqué au centre communautaire juif de Nanterre déclarait :
« Je sais et vous le savez que nous vivons depuis quelques années la montée des intolérances, et particulièrement de ce cancer qu’est pour nous tous l’antisémitisme. Nous ne devons pas oublier que le terrorisme est la phase extrême de cette intolérance aux autres et que lorsque le terrorisme touche la communauté juive, il touche la communauté nationale tout entière. […] Notre force, c’est notre unité. La société rassemblée est plus forte que la peur. Elle est plus forte que le terrorisme. Nous sommes, ensemble, bien plus forts et c’est cela le message que nous devons ensemble porter ».
La force tirée de l’union entre les valets de leur République, les étrangers et les corrompus…