Les médiats du système ont annoncé triomphalement la conclusion d’un « accord » lors d’une rencontre des dirigeants de leur Union européenne (UE) hier pour la résolution de la prétendue « crise des migrants ». Contrairement aux mensonges des journalistes et de nombreux politiciens libéraux et de gauche, il ne s’agit nullement d’un « accord », la décision ayant été imposée à plusieurs pays qui la refusent. Cette résolution ne règle en rien la situation, s’attachant au sort de 120 000 envahisseurs quand plusieurs centaines de milliers ont déjà attaqué l’Europe pour la seule année 2015 et alors que cette décision va être interprétée par les ‘migrants’ comme un nouvel appel à envahir notre continent.
Une décision dictatoriale contre les peuples européens et contre plusieurs pays européens
Comme habituellement dans l’UE, les décisions de ce mardi ont été prises sans le moindre consentement des populations ; elles l’ont même été contre la volonté des Européens puisque les enquêtes d’opinion montrent que, malgré les manipulations médiatiques d’une ampleur jamais vue, l’opposition aux mesures pro-invasion est très majoritaire en Europe, de Barcelone à Varsovie et de Paris à Budapest.
Pourtant, l’ancienne dirigeante communiste est-allemande Angela Merkel a réussi à imposer une partie du plan Juncker d’aide à l’invasion de l’Europe, avec l’appui du gouvernement d’occupation en France. L’opposition et la fermeté de la Hongrie et des autres pays opposés à l’invasion ont conduit à la suppression de la proposition la plus choquante du plan Juncker, les quotas obligatoires, mais cela ne change rien sur la répartition des colons.
Ce petit recul des européistes n’a pas suffi à réduire l’opposition des dirigeants de l’est. L’unanimité n’a pas été possible autour de ce plan et cinq pays, la Hongrie, la Roumanie, la Slovaquie, la Tchéquie et la Finlande, ne l’ont pas accepté, les quatre premiers votant contre, la Finlande s’abstenant. C’est près d’un cinquième des États de l’UE qui n’a donc pas validé le plan, alors que généralement les décisions sont prises à l’unanimité après consensus pour des questions politiques aussi importantes.
Un coup de force européiste menaçant l’UE
Les ministres européens de l’Intérieur, réunis mardi après un premier échec la semaine dernière, ayant repoussé le système des quotas obligatoires, la répartition des 120 000 envahisseurs se fera officiellement de manière « volontaire », alors que quatre pays refusent le contingent qui leur est imposé « volontairement ».
Ce coup de force d’une partie des ministres contre leurs homologues devrait creuser encore le fossé séparant la vieille UE, celle de pays dirigé par des mondialistes agonisant, croyant toujours aux songes creux d’un libéralisme humaniste fou, et les derniers adhérents, qui n’ont rien abandonné de leur conscience nationale et ne croient pas que l’avenir de l’Europe soit celui d’un continent sans racine, sans identité et sans défense.
« Nous rejetons sans équivoque tout effort en vue d’introduire un mécanisme permanent de redistribution de réfugiés. Nous rejetons aussi l’introduction de quotas »,
avait déclaré le premier ministre slovaque Bohuslav Sobotka hier matin.
« Je préfère plutôt transgresser les règles européennes que d’accepter ce diktat. Tant que je serais premier ministre de la République slovaque, les quotas obligatoires ne seront pas mis en œuvre sur le territoire slovaque »,
a déclaré le premier ministre slovaque Robert Fico, bien loin du triomphalisme méprisant et hautain des européistes.
« Il y a des règles en Europe […] il y a des sanctions, ça existe. Et donc ces pays se mettraient dans des situations où forcément ce qu’ils reçoivent de l’Europe ne viendra plus »,
a menacé François Hollande, incapable de faire respecter la loi à un gang de gitans et à des racailles de banlieues, et se croyant en mesure d’imposer la destruction à des pays souverains.
Une « solution » pour 120 000 colons quand 500 000 sont déjà présents en Europe
La décision imposée par quelques ministres mardi est totalement déconnectée des réalités : les ministres de l’Intérieur font semblant de s’occuper du problème de l’invasion alors que le plan ne concerne que 120 000 étrangers ayant violé les frontières de l’Europe quand, selon les chiffres des différents organismes, 500 000 sont déjà présents sur notre sol. Il ne s’agit là que des dernières vagues d’invasion, sans compter les dizaines de millions d’étrangers déjà présents en Europe, y compris les ‘migrants’ de Calais et d’ailleurs dont les gouvernements ont été incapables de s’occuper en plusieurs années.
Selon ce plan, les autorités vont proposer dans un premier temps à 66 000 envahisseurs un pays d’accueil auquel ils soumettront une demande d’asile. Or, non seulement les envahisseurs ne réclament pas l’asile, la plupart sachant qu’il leur sera refusé, mais, de surcroît, ils ont déjà montré qu’ils étaient prêts aux plus violentes émeutes pour aller dans le pays de leur choix, n’ayant aucune considération pour les décisions des pays qu’ils envahissent. Les dizaines de milliers qui ne seront pas envoyés en Allemagne ou en Suède n’auront donc qu’une volonté une fois leur demande d’asile déposée : se rendre dans ces pays. Bénéficiant d’aides en tout genre, ils pourront alors le faire petit à petit, bénéficiant de réseaux déjà très organisés à travers l’Europe, sans provoquer alors le moindre remous dans l’opinion publique. C’est là le seul objectif des autorités européistes.
Impuissance et mensonges
« Il faut empêcher que d’autres n’arrivent »,
a déclaré le ministre de l’Intérieur allemand Thomas de Maizière mardi.
« Nous ne devons pas envoyer le signal que nous pouvons accueillir tout le monde, tout de suite. Ce ne serait pas responsable »,
a précisé Bernard Cazeneuve.
Tous les deux participent pourtant à des gouvernements qui justement font tout pour encourager l’invasion, et que justement mardi ils ont imposés à leurs homologues, parfois par la menace, qu’ils acceptent un nouveau plan qui ne peut qu’être interprété par les candidats à l’émigration comme un signal de faiblesse.
En Allemagne particulièrement, les propos d’Angela Merkel annonçant que le pays ne renverrait plus les demandeurs d’asile (sic) syriens chez eux ont conduit non seulement à de nouveaux départs, mais encore à la diffusion massive de faux papiers parmi les prétendus ‘réfugié’. Pour quelques centaines d’euros, ils s’achètent désormais des faux passeports syriens.
La complicité du gouvernement français, et tout particulièrement de Bernard Cazeneuve, qui pose serrant la main et souriant à ceux qui ont violé les frontières de notre pays, n’est plus à démontrer.
Cette décision ne règle aucunement le problème et « l’accord » de mardi a surtout pour objectif de permettre aux chefs d’État et de gouvernement de l’UE, qui doivent se rencontrer ce mercredi à Bruxelles, de ne pas avoir à discuter de ce sujet et d’afficher une unité de façade. À moins que l’un ou l’autre des dirigeants des pays refusant ce plan criminel ne décide de mettre les dirigeants pro-invasion devant leurs responsabilités, leurs mensonges et leurs trahisons.