Le Front national (prétend) s’opposer à l’invasion de l’Europe par les masses du tiers-monde. Pourtant, la direction du parti, à l’image du gouvernement d’occupation en France, a mis en pratique exactement la même politique. La population autochtone frontiste a été remplacée par des migrants politiques venus des rangs pro-drogues de la LCR, des cercles homosexualistes de l’UMP ou des cercles crypto-maçonniques chevénementistes.
Le Front national (FN) annonce, maintenant depuis des années, l’imminence de ralliements de poids au parti d’extrême droite, de personnalités, sans que jusqu’ici un seul ne soit connu. Au contraire, la liste des opportunistes en quête de prébendes ne cesse de grossir. La dernière « prise » en date est un obscur sárközyste, Jean-François Fons. Il avait échoué en mars 2014 à prendre la mairie du petit village de Saleilles. Il s’était surtout fait remarquer en débauchant plusieurs élus sortants en n’obtenant que 17 % au premier.
Ce dernier, de simple ancien adjoint au maire de Perpignan a obtenu, comme prix de sa trahison, la tête de liste pour les Pyrénées-Orientales aux élections régionales de décembre prochain. Il est vrai aussi – surtout ? – qu’il s’agit d’un vieil ami de Louis Aliot. Et cadre de la banque toulousaine Courtois. Utilisera-t-il comme l’année dernière les méthodes plus que douteuses comme celle consistant à inscrire contre son gré un notable (le président de l’USAP François Rivière) sur un comité de soutien ?