« La manifestation n’est pas autorisée [sic]. Il y a un principe de réalité : vous êtes ici présents, et vous avez envie de rendre un hommage à Rémi Fraisse. Il n’y a pas de volonté de l’État de vous empêcher de rendre cet hommage. Je ne suis pas en train d’autoriser cette manifestation [sic] : je suis en train de prendre acte d’un fait, c’est que vous êtes venus massivement pour un hommage et on souhaite que cet hommage puisse être rendu dans la dignité et avec toute la dignité que l’instant demande et mérite »,
a déclaré lors d’une intervention stupéfiante le sous-préfet du Tarn, expliquant à des délinquants violant la loi qu’il allait les aider à la violer. Il a donc autorisé en personne une manifestation que la préfecture du Tarn avait… interdite.
Environ 300 personnes ont ainsi pu participer à une manifestation interdite, sous la protection de la police, et avec la bénédiction des services du gouvernement.
Les gendarmes, que l’État n’a pas hésité envoyer gazer et attaquer des enfants durant La Manif pour tous (LMPT), ont été dépêchés pour diriger et assurer la sécurité de la manifestation illégale.
En dépit de plusieurs interdictions prises par la préfecture et la mairie, ils se sont rendus de Gaillac à Sivens près des lieux où Rémi Fraisse est mort il y a un an après, lors d’actions prenant prétexte la protestation contre un barrage.
Là où les autorités ces dernières années ont réprimé avec parfois une extrême violence les patriotes qui voulaient manifester pour défendre leur peuple et leur nation, la préfecture a proposé au contraire d’accompagner les manifestants violant la loi et de sécuriser la manifestation interdite.
cette extrême gauche bien pensante