Le footballeur Mathieu Valbuena a pris pour la première fois la parole pour préciser sa position dans l’affaire de chantage concernant une vidéo le montrant en plein acte sexuel.
À l’opposé des affirmations de l’étranger maghrébin Karim Benzema et de son avocat, l’extrémiste étranger juif Alain Jacubowitz, Mathieu Valbuena a confirmé, comme les écoutes semblent le démontrer, que le Maghrébin a bien servi d’intermédiaire actif dans le chantage.
« Dans sa façon de parler, il n’a pas été agressif, il ne m’a pas parlé d’argent concrètement, directement, mais quand tu insistes pour me faire rencontrer quelqu’un… pffff. Moi, j’ai jamais vu quelqu’un qui va faire détruire une vidéo gratuitement juste parce qu’il m’adore ! Faut éviter de prendre les gens pour des idiots. Je suis plus que déçu. Je me dis que c’est un manque de respect, tout simplement. Tu ne peux pas avoir un comportement comme ça avec quiconque. […] Je ne peux être que très très très déçu, et constater que la relation avec Karim, elle n’est pas aussi sincère qu’il pouvait peut-être le prétendre »,
a précisé au Monde Mathieu Valbuena, découvrant les véritables « solidarités » et le seul racisme (antiblanc) à l’œuvre en France occupée.
Par ailleurs, le nom d’une autre « chance pour la France » de l’équipe « Black Blanc Beur » est apparu, celui de Samir Nasri. Cet autre étranger enrichi à millions grâce aux médiats et aux « supporteurs » aurait pu jouer un rôle dans le chantage.
« Mes relations ont toujours été difficiles avec Nasri. Maintenant, plus rien ne me surprend. Quand tu es dans une histoire de racket et que tu trouves ces noms-là, c’est presque comme si tu étais chez les fous [sic] »,
a conclu Mathieu Valbuena.
« Je gagne très, très bien ma vie. Si un ami a vraiment besoin d’argent, je lui donne. S’il a besoin de 50 000 ou 100 000 euros, je lui donne de l’argent parce que c’est mon ami. Chacun choisit sa vie. Je suis footballeur. Je ne suis ni un voyou, ni un intermédiaire, ni un maître-chanteur, ni rien du tout. »,
a nié Samir Nasri, avant d’attaquer ‘son camarade’ :
« S’il veut se faire passer pour une victime, il n’y a pas de problème ! [sic] »,
a ajouté l’étranger précisant :
« Dans cette affaire, c’est lui la victime, mais qu’il ne sorte pas mon nom. On n’est pas amis. On ne le sera jamais. Mais le malheur des gens ne me fait pas plaisir. »