La politique migratoire d’invasion systématique mise en place par la République et l’occupant depuis 1945 est largement responsable de la situation sécuritaire en France et, entre autres crimes quotidiens contre les Français, des attaques de Paris le 13 novembre.
Cela n’a pas empêché le gouvernement d’occupation d’oser profiter des ‘hommages’ aux victimes – étrange ‘hommage’ qu’une cérémonie organisée par ceux qui ont armé, favorisé et laissé agir les tueurs – pour poursuivre son combat contre la France, à la poursuite d’un mirage multiculturel d’une antination sans racine et sans passé.
De façon particulièrement symbolique, c’est l’Israélienne Yaël Naim qui a entonné le premier chant « d’hommage » : alors que les Français étaient appelés à mettre des drapeaux bleu blanc rouge à leurs fenêtres et balcons, c’est une étrangère, ayant fait son service militaire dans l’État criminel d’Israël, qui prit la première la parole lors de cet « hommage ». Pour chanter la chanson d’un… Belge. Étrange « patriotisme » que celui d’individus vendant leurs disques en France, mais prenant les armes pour défendre un peuple étranger1.
Alors qu’Israël refuse d’accueillir les réfugiés syriens, mais favorise certains groupes terroristes, et que l’entité sioniste est la principale cause de la déstabilisation non seulement du Proche-Orient depuis la fin du XIXe siècle, mais encore de l’Europe depuis des décennies par ses mensonges et son racket, quel message voulait délivrer François Hollande par ce choix ?
Aux côtés de Yaël Naim, outre Nolwenn Leroy, se trouvait par ailleurs une autre étrangère, l’Algérienne Camélia Riad-Aliouane. Dans cette mascarade où il n’y avait décidément rien de français mais tellement conforme à ces temps de relativisme généralisé, l’autre œuvre chantée, à part la Marseillaise, a été une chanson d’une autre étrangère juive, Barbara. Chantée par Nathalie Dessaix, elle-même invertie au judaïsme2….
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1 Yaël Naim n’a pas pris part directement aux massacres commis en Palestine, étant affectée rapidement à l’orchestre des forces aériennes israéliennes, les mêmes qui ont mené les campagnes de bombardements meurtriers.
2 « Oui, et même si je suis agnostique, je me sens culturellement très juive, et complètement adoptée par ma communauté… même si certaines choses sont parfois compliquées. Sur la question gay, par exemple. On est encore loin des États-Unis où j’ai découvert l’existence d’une synagogue qui accepte tout le monde, les gays, les lesbiennes, mais aussi les transsexuels, tous ceux qui sont généralement ’en marge’ du culte. »
Ce n’est pas un hommage national mais une mascarade républicaine et donc antinationale et, en l’occurrence, sémite.
Mascarade indécente , tout à fait dans la » tradition » de vassalité envers l’Empire ! Ces élucubrations républicaines , boudées par l’ensemble du peuple , montrent néanmoins le fossé qui les sépare . Espoir !