Le 28 août 2014, un pédophile connu des services de leur république avait agressé deux enfants à Raismes, dans le nord de la France. Se faisant passer pour une autorité, il avait interpellé les deux jeunes qui pêchaient dans un étang, leur affirmant qu’ils n’en avaient pas le droit. Il avait forcé les enfants à se mettre à genoux, à se déshabiller, à se laisser toucher. Il s’était enfui non sans les avoir menacés.
Inquiétée par le comportement de son fils, une mère réussit à faire parler son fils après plusieurs jours. Grâce au témoignage des enfants, le criminel est rapidement identifié : il s’agit d’un pédophile récidiviste, censé être « recherché » par les forces de police pour une agression à Maubeuge. Pourtant, malgré ces nouveaux faits, rien n’est fait pour retrouver l’asocial.
Une première fois, un soir, le travail que refusent de faire les policiers, le père de l’une des victimes le réalise : il retrouve la trace du criminel et un court affrontement s’ensuit, l’agresseur parvenant à le gazer et à s’enfuir.
Les policiers, prévenus, se montrent une fois encore incapables d’arrêter le pédocriminel. Pourtant, le père, le beau-père et le demi-frère de l’enfant, sans chien policier, sans aucun moyen d’investigation, arrivent eux à le localiser à nouveau et à le retrouver. Une fois encore, le criminel tente d’échapper à la justice, utilisant une matraque et une bombe lacrymogène.
« On avançait avec une lampe. Puis on a entendu comme un bruit de matraque télescopique. Il était caché dans un coin, avec sa matraque et une bombe lacrymogène. Je l’ai reconnu quand il s’est retrouvé éclairé. Il a voulu frapper le demi-frère de X. Après, les coups sont partis. Je ne dis pas que c’est glorieux ce que j’ai fait. Mais il fallait que ce type soit arrêté, je n’ai pas fait ça que pour mon enfant. Je n’aurai pas appelé la police si je n’avais pas eu l’intention de le leur livrer ensuite »,
a témoigné le courageux père ayant non seulement affronté le pédocriminel, mais se montrant encore prêt à subir les coups ignobles de la République défendant les pires de ses enfants.
Les justiciers avaient immédiatement appelé les secours pour prendre en charge l’individu ayant subi une juste punition.
Ce soir-là, ce furent les trois justiciers qui furent arrêtés (voir notre journal du 26 septembre) par des policiers tout à coup très intéressés par l’affaire.
Les citoyens vigilants devaient comparaître jeudi dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, des magistrats rouges les ayant convaincus qu’ils étaient « coupables », eux qui avaient fait le travail que le régime a refusé de faire, pour avoir recherché, trouvé et s’être défendus contre un pédocriminel.
« J’ai expliqué qu’il était hors de question de reconnaître la culpabilité de mon client. On estime qu’on n’est pas coupable de violences. Ils ont interpellé un homme violent, qui était armé, dans une cache sombre. Dans ce contexte, il ne s’agit pas de violences. Mais d’une interpellation nécessaire.
[Cette affaire] n’a rien à faire en justice. Ils avaient la nécessité d’interpeller ce monsieur. Ce ne sont pas des voyous ! Ils ne savaient pas qu’ils allaient le trouver dans la cache du pont, ce n’est pas une expédition punitive. Tout le monde a paniqué dans la cache du pont et ils ont frappé. […] Des violences peuvent parfois être légitimes »,
a rappelé l’avocat du père, qui a exigé la tenue d’une audience publique. Les trois justiciers seront jugés ultérieurement devant l’antijustice républicaine.
Le pédocriminel, actuellement incarcéré, n’a toujours pas été jugé.
« Telle la Pithye délivrant un langage abscond, le texte de la loi se mue en discours surnaturel.
La bribe l’emporte sur le mot, l’énigme sur la prescription.
La loi, fière de transparence, redevient l’ordalie du Moyen-Age, cette épreuve judiciaire mystique.
Mêlant les langages, des accès de latin, des frondaisons d’anglais ou d’allemand, des aspirations à une autre langue venue de l’autre rive, l’article 7 s’installe dans la prophétie. »
http://www.jmga.fr/fr/cabinet/art7
« Il a été aménagé au sous-sol 2 forages, l’un de captage, l’autre de rejet, en nappe phréatique. »
http://www.strem.fr/nos-references/bureaux/renovation-des-bureaux-du-cabinet-d-avocats-jakubowicz-mallet-guy-et-associes