Constatant l’échec total de « l’intégration » des millions d’étrangers de la 1er, 2e, 4e génération, les populations des villes et villages de France se mobilisent de plus en plus pour ne pas être les prochaines victimes des politiques criminels du gouvernement. À Etueffont, plus d’une centaine d’habitants – 10 % de la population –, alors qu’une pétition a recueilli plus de 700 signatures, s’est mobilisée vendredi.
« C’est avec l’appui de plus de 700 signatures que je prends la parole ce soir. On ne fait pas de politique, chacun a ses idées et nous ne sommes pas racistes ! Notre pétition circule maintenant sur tout le nord du département. On nous a menti sur toute la ligne, la municipalité nous a expliqué qu’elle n’avait pas son mot à dire et la préfecture nous dit que la mairie était d’accord »
a déclaré Roger Dehran, à l’origine de l’opposition.
« Il y a clairement un couac dans la démarche, car tout choix doit être discuté avec la population. Et puis, une répartition plus sereine, plus juste de ces personnes dans différentes communes n’aurait pas conduit à cette situation »
a dénoncé Didier Vallverdu, conseiller régional et maire de Rougemont-le-Château.
Le conseil municipal pro-invasion de la ville a fermé la mairie pour ne pas avoir à répondre aux questions et affronter la colère de la population.
« Nous sommes les vaches à lait, les bons payeurs d’impôts, que ceux qui veulent accueillir les migrants le fassent chez eux »,
« J’ai demandé au maire la mise en place d’un service de sécurité, car des migrants ont été aperçus à proximité de l’école primaire, mais on m’a dit que rien ne serait mis en place »
« Pourquoi n’y a-t-il que des hommes, les femmes et les enfants sont restés dans des pays en guerre ? Nos anciens se sont battus pour notre pays »,
« Si le conseil municipal n’est pas en adéquation avec la population, qu’il démissionne ! »,
ont dénoncé des habitants.