Dans un entretien en novembre dernier, le créateur de la Guerre des étoiles George Lucas dénonçait violemment la firme Disney et son traitement de la suite de « son » histoire. Ces passages n’ont été diffusés que ces derniers jours. Dans l’un d’eux, le réalisateur dresse un étonnant parallèle entre ses personnages et l’esclavage. Il décrit comment il a vendu « ses enfants », comprendre comme tout ce qui fait l’univers qu’il a créé, à Disney, comparé à des « négriers blancs ».
« Ce sont mes enfants. […] Je les aimés, je les ai créés, je suis lié à eux très intimement. Et je les ai vendus à des négriers blancs qui prennent ces choses… »,
a-t-il déclaré, débordant d’un racisme antiblanc hors de tout contexte.
Or, le dirigeant de Disney, qui a racheté les droits de la Guerre des étoiles, est Robert Iger, un Juif.
Or, le réalisateur du dernier volet de la série qu’il a vendue et qui « trahit » son univers est J.-J. Abrams, un Juif.
Mais pour cet oligarque mondialiste qu’est George Lucas, verser dans le racisme antiblanc de manière grossière et hors de propos est tout à fait dans l’air du temps ; dénoncer le monde dont il est esclave volontaire et ses maîtres lui aurait valu de bien plus graves ennuis .
Il aurait pu très à propos utiliser les termes « white slavery » qui rappellent les millions de Blancs réduits en esclavage comme les centaines de milliers de Blanches ces dernières décennies (la « traite des blanches) sous une forme ou sous une autre. Plusieurs millions d’Européens ont été réduits en esclavage depuis le Moyen Âge par les ennemis de l’Europe, principalement les Turcs, les Arabo-musulmans et les Juifs.
Quand l’Europe a pu mettre fin aux activités criminelles de l’Empire ottoman, l’esclavage des Blancs prit d’autres formes, notamment celles de l’exploitation sexuelle d’enfants et des femmes réduites à l’état de prostituées. Dans ces pratiques ignobles, les mêmes groupes ethniques s’illustrèrent tristement ; ils continuent à le faire comme l’ont prouvé les réseaux de criminels pakistanais ou somaliens démantelés en Grande-Bretagne ces derniers mois, et s’affichent dans les rues de Paris, Berlin ou Tel Aviv.