Leur journal Libération (sic), dont les mensonges quotidiens ont même dégoûté ses plus fidèles lecteurs trotskystes, ne s’arrange pas sous la houlette de ses financiers – de gauche- Rothschild et –israélien – Drahi. Appelant l’occupant de Matignon –Valls – à encore plus de despotisme ploutocratique contre les Français non reniés, ce canard boiteux échoue à argumenter, mais arrive à placer deux fois le mot-clé à l’avant-garde de leur République dans la même phrase :
« Car l’antisémitisme chrétien de droite nourrit indirectement l’antisémitisme islamiste ».
Les plus de dix millions d’euros de subventions publiques versés chaque année pour « moderniser la presse » à « Libé » lui servent à financer ce site…
L’endettement de l’État auprès des Rothschild, copropriétaires de Libération, permet à l’État de subventionner… lesdits financiers, propriétaires de Libération, en plus des intérêts qu’il leur verse au titre de l’usure sur la dette publique : la boucle de l’escroquerie cosmopolite en bande organisée est ainsi bouclée.
Ce matraquage communautariste relevant de l’incantation et de la psychanalyse correspond finalement assez bien à leur nouveau projet mégalomaniaque relayé en des termes se voulant laudateurs par Le Figaro de leur coreligionnaire Bloch dit « Dassault » :
« La mission du nouvel attelage ne change pas : transformer la grande marque de presse Libé en «planète Libération», comme l’a dit Pierre Fraidenraich, un ancien de Canal+ que Bruno Ledoux a fait venir pour prendre en charge les activités multimédias. Soit, en plus du quotidien, développer un réseau social, lancer une Libé TV ou faire de l’immeuble du journal un espace culturel. »