Les promotions de l’ENA (École nationale d’administration), le cœur de la République où se reproduisent les élites du Système, avaient porté des noms infâmes, mais jamais autant que la promotion 2015. Il y avait eu Robespierre (1970), Charles De Gaulle (1972) et Simone Veil (2007), mais le choix d’un criminel de guerre, responsable des crimes de Dresde, Magdebourg, etc., alcoolique notoire entre autres vices tel que Winston Churchill (ici à gauche en compagnie de deux des plus grands criminels contre l’humanité, Joseph Staline, le dictateur communiste responsable de la mort de plusieurs dizaines de millions de personnes et Franklin Roosevelt, qui fit poursuivre les recherches sur la bombe atomique que Adolf Hitler fit arrêter) restera dans les annales tant il montre la corruption des élites républicaines.
Trois des dix derniers noms de promotion étaient ceux de Juifs s’étant particulièrement illustrés dans la haine de la France : Simone Veil, Robert Badinter et Jean Zay. C’est le cas de plus de 15 % des 59 promotions portant un nom de personnalité.
Si l’organisatrice du génocide des Blancs par l’avortement Simone Veil et le sauveur de criminels Robert Badinter sont connus, Jean Zay est aujourd’hui oublié malgré les hommages que lui rendent régulièrement les plus extrémistes des juifs et des francs-maçons en nommant des établissements scolaires de son nom ignominieux. Il est l’auteur d’un « poème » dont il n’est pas inutile de rappeler la teneur.
Dans Le Drapeau, cet immonde étranger, qui deviendra grâce à son coreligionnaire Léon Blum ministre de l’Éducation – poste auquel sévit aujourd’hui un autre juif, Vincent Peillon –, décrivait notre drapeau national comme « cette saloperie-là », « cette saloperie tricolore », « cette loque », « cette immonde petite guenille », « cet ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs ». Un drapeau que cette vermine avouait haïr « férocement » : « Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes […] Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel le blanc livide de tes remords. »