Il faut interdire l’avortement, dans tous cas
- L’avortement « Lifestyle » représente 99,16 % des IVG.
Les autres cas se déclinent ainsi :
- Santéde la mère en danger : 0,42%
- Viol : 0,22 %
- Craintede malformation de l’enfant : 0,20%
Un gynécologue pratiquant des avortements en Suisse décrit comme suit les motifs d’avortement : « Nous ne possédons pas de statistiques quant aux motifs. La femme n’est pas tenue de nous les communiquer, mais elle a l’occasion de s’exprimer. Les motifs sont très variés et parfois difficilement compréhensibles : souvent le couple n’est pas encore clairement fixé comme tel, ou alors il est instable, ou brisé, ou sujet à infidélités, la formation n’est pas encore achevée, un avenir financièrement incertain, la peur de devenir mère célibataire, la peur de dépendre de la famille (grands-parents). Parfois, les motifs sont difficilement concevables ou contredisent le sens commun : Par exemple, « les astres sont défavorables », ou, encore plus stupéfiant pour nous, il y aura « erreur sur le sexe de l’enfant ». »
Le Dr. Werner Förster, gynécologue à Einsielden, dit à ce sujet : « Aujourd’hui, les gens raisonnent non plus en pensant à l’enfant, mais se cantonnent à l’aspect utilitariste. La cause d’avortement la plus fréquente est le partenaire qui ne convient pas, la carrière ou une défaillance du contraceptif. »
Une IVG coûte en moyenne 450 euros. Il y en a 220 000 par an en France. Au total, cela coute environ 99 millions d’euros chaque année.
Le nombre d’IVG pour risque que l’enfant ait une malformation concerne moins de 400 cas par an. l’IVG nous ruine et tue notre race. Il faut l’abolir