Les récentes déclarations du Pape François à Lampedusa ne sont pas faites pour nous rassurer.
Depuis quelques années le Proche Orient et le Maghreb sont le théâtre de troubles sanglants et l’engagement des pays occidentaux aux côtés des islamistes n’ont pas arrangé les choses. Que ce soit en Égypte, en Tunisie, en Libye et en Syrie, le chaos et la misère ont remplacé des régimes autoritaires certes, mais qui avaient leur place à l’ONU, étaient reconnus par la communauté internationale et garantissaient la paix civile chez eux.
Pourquoi Saddam Hussein a-t-il été pendu suite à une parodie de procès ?
Pourquoi Ben Ali et Hosni Moubarak ont-ils été destitué ?
Pourquoi Mouammar Kadhafi a-t-il été assassiné ? Pourquoi Bachar Al Assad doit-il disparaître ?
Et on peut aussi se poser des questions quand à l’avenir du Maroc, de l’Algérie ou du Liban. En se mêlant de ce qui ne les regarde pas, les pays de l’OTAN ont ouvert la boîte de Pandore. Pire, Obama, Cameron et Sarközy ont tracé un boulevard aux bouchers sunnites et aux janissaires wahhabites, recrutés, entraînés, armés et payés par le Qatar, l’Arabie Saoudite, les Émirats, les USA, la Grande-Bretagne et la France pour instaurer la « démocratie » par le fer et par le feu.
Ceux qui prétendent être aux avant-postes de la lutte contre l’islamisation en apportant leur soutien à Israël se trompent lourdement et aggravent encore leur aveuglement en applaudissant à la mort de Kadhafi ou aux défaites de l’armée syrienne de Bachar Al Assad : ce n’est pas en allant à Yad Vashem que l’on va résoudre les émeutes à Trappes, à Birmingham, à Oslo, à Berlin, à Bruxelles ou à Athènes.
Parce que l’Islam (la soumission à Dieu) impose le Coran, c’est la loi coranique (charia) qui fixe les 5 devoirs fondamentaux à chaque musulman : la chahada, le salat, le ramadan, le hadj et la zakat. La charia n’est pas dissociable du Coran, c’est un ensemble. Voilà pourquoi l’Islam est incompatible avec la démocratie et que cette évidence est niée par les tarés qui nous gouvernent.
Les guerres civiles (et religieuses) qui vont se propager le long du bassin méditerranéen pourraient déclencher un raz-de-marée de millions d’immigrés vers l’Europe, car la génération arabe d’Internet et de Twitter, cette frange nourrit au Mac Do et biberonnant au Coca, habillée façon Benetton et chaussée Nike, ne supportera pas les contraintes imposées par les ulémas et les mollahs.
Que nos dirigeants prennent garde ! Partout en Europe existent des quartiers noyautés par des mouvements sectaires qui veulent nous imposer leurs us et coutumes (nourriture halal, ramadan, tchador, babouches, niqabs, burqàs etc., etc.) ; quartiers sensibles prompts à s’enflammer pour une cause qui n’est pas la nôtre, pour une civilisation ennemie de nos peuples. Chez nous, les risques de guérillas urbaines existent et il est urgent de faire taire les gourous de l’immigration à outrance, sous prétextes de souffrance humaine ou de réfugiés politiques…
Dans l’état de délabrement de notre économie et de nos finances, « nous ne pouvons pas accueillir toute la misère du monde » depuis longtemps.
En effet, les médias nous parlent de nos dettes publiques monstrueuses qui handicaperont nos enfants et nos petits enfants bien au-delà de 2063. Il est donc impératif de contrôler l’usage de chaque euro issu de nos impôts et des multiples taxes, et se pencher sur des dépenses magnanimes, des annulations de dettes, des dons vers des destinations lointaines ou encore pour des étrangers qui viennent se faire soigner dans nos hôpitaux sans débourser un euro ! Et ne parlons pas du scandale de l’hébergement en hôtel des hors-la-loi qui arrivent chez nous tous les jours, sans prévenir ni réserver… !
Pieter Kerstens.