Sommaire :
Actualité nationaliste France
- CLAN – Communauté de liaison et d’aide nationaliste – Soutien à Yvan Benedetti
France
- Trois Rroms condamnés pour association de malfaiteurs et vol en réunion
- Trafic de stupéfiants: un an de prison pour M’benba à Joué-lès-Tours
- Adama et Demba Sene et leurs complices condamnés pour trafic de stupéfiants
- Procès du gang Rroms des voleurs de fret: 430 000 € de préjudice
- Amal Saadi frappe sa femme : un an de prison ferme
- 30 mois ferme pour Khalil.G, le chauffeur du 19 tonnes qui a écrasé Chloé
- Ménard crée une nouvelle polémique avec des affiches « anti-migrants » à Béziers
- La Le Pen oblige le FN belge à changer de nom
Etranger
Monde
- Les Palestiniens pressent la Fifa d’agir contre le foot israélien dans les colonies
- Un ministre de l’entité sioniste pour l’amnistie d’un soldat ayant achevé un Palestinien
Vidéo
- Une volonté nous appelle
Ephéméride nationaliste
- 12 octobre 1870 : mort de Robert Lee
- 12 octobre 1907 : naissance de Jean-Louis Tixier-Vignancour
- 12 octobre 1973 : Juan Domingo est de nouveau élu Président de la Nation argentine
Agenda
- Bruxelles : Concert de Docteur Merlin – 15 octobre 2016
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Actualité nationaliste France
CLAN – Communauté de liaison et d’aide nationaliste – Soutien à Yvan Benedetti
Depuis plusieurs années Yvan BENEDETTI fait l’objet d’une persécution judiciaire particulièrement virulente à son encontre.
Après la dissolution de l’Œuvre Française qu’il présidait, la justice aux ordres le poursuit à titre individuel chaque fois qu’elle le peut. En effet, il a fait l’objet d’une quinzaine de procès déjà et a actuellement 6 procès en cours.
Juste pour le mois de novembre il fait l’objet de 3 comparutions à Paris :
– le 17 novembre, devant la Cour d’Appel, pour diffamation envers le procureur Charmatz, suite à un article de Jeune Nation le qualifiant » de tristement célèbre procureur » pour avoir nié le caractère anti-chrétien de la profanation du cimetière de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse. Il avait été condamné en 1ère instance.
– le 17 novembre, toujours devant la Cour d’Appel, pour les délits tarte à la crème de provocation à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, blablabla, blablabla… Condamné en première instance avec entre autres des dommages pour SOS Racisme et la Licra qui étaient parties civiles.
– le 22 novembre, devant la 17ème Chambre correctionnelle, pour un article de Jeune Nation dénonçant la fabrication par Gilbert Spazner des couteaux de marque Laguiole… au Pakistan.
Concernant le procès touchant à la dissolution de l’Œuvre Française il sera très probablement courant 2017. La peine encourue est de 10 ans de prison…
Le CLAN le soutien et vous appelle à faire bloc derrière lui afin de rendre coup pour coup. D’abord pour ceux qui le peuvent en se rendant aux procès, et ensuite en participant à hauteur de vos moyens à notre collecte.
La justice est peut être une arme efficace pour le système mais nous avons des ressources et une armée d’avocats aussi déterminés que notre ami à ne pas plier.
Afin de nous aider à faire face aux frais de justice et de pouvoir entreprendre la contre-attaque nous faisons appel à votre générosité.
Dons via la cagnotte leetchi :
https://www.leetchi.com/c/soutien-yvan-benedetti
Ou par chèque à l’ordre du CLAN
Adresse BP1030. 69201. Lyon Cedex 01
France
Trois Rroms condamnés pour association de malfaiteurs et vol en réunion
Trois ressortissants « roumains » âgés de 24 à 28 ans ont été condamnés vendredi par le tribunal correctionnel de Nancy à 3 ans de prison ferme ainsi qu’à une interdiction de séjour dans le Grand-Est d’une durée de 5 ans. Ils ont été reconnus coupables d’« association de malfaiteurs » et d’un « vol en réunion avec effraction ».
Ce cambriolage, commis place Charles-III, à Nancy, près du marché, avait été d’une efficacité maximale. Dans la nuit du 11 au 12 août 2015, après avoir fracturé la porte vitrée donnant sur rue, ces trois hommes avaient pénétré dans le couloir d’un immeuble au rez-de-chaussée duquel se trouvait une bijouterie et, avec un marteau, avaient fait un trou de 45 centimètres de diamètre dans le mur afin d’investir la joaillerie.
Ils avaient fait main basse sur des bijoux et des montres. Montant du butin : plus de 20.000 €. L’alarme du magasin n’avait pas fonctionné, pas plus que le système de vidéosurveillance…
La veille, dans la matinée, une employée de la bijouterie avait vu deux hommes, lunettes noires sur le nez, entrer dans le magasin et se renseigner sur une bague. Elle avait constaté que le duo était encore dans les parages de la bijouterie en début d’après-midi.
Ce sont d’autres caméras, celle de la ville de Nancy et d’un établissement bancaire proche, qui avaient mis les enquêteurs sur la piste des trois hommes arrivés depuis deux jours dans la cité ducale.
Ils avaient été interpellés en décembre 2015, suite à une coopération avec les autorités roumaines, et avaient reconnu les faits.
Trafic de stupéfiants: un an de prison pour M’benba à Joué-lès-Tours
M’Benba a été interpellé le 30 septembre, à Joué-lès-Tours. Ce jour-là, la brigade anticriminalité mène un contrôle d’identité. Un groupe de jeunes gens se disperse aussitôt.
Certains pénètrent dans le hall d’un immeuble. M’Benba en fait partie. Il monte même dans un appartement où il ne vit pas mais dont il a la clé, pour s’assurer une solution de repli.
Là, il se cache dans la salle de bain après avoir jeté une première sacoche. Sur lui, les policiers mettent la main sur un téléphone, de la résine de cannabis, plusieurs barrettes filmées et de l’argent liquide. Dans la chambre, l’un de ses camarades, de deux ans son aîné, s’est caché dans le lit… avec ses chaussures !
Mardi, les deux étaient présentés au tribunal dans le cadre d’une comparution immédiate. M’Benba, dont les versions ont varié au fil de sa garde à vue de 72 heures, reconnaît une partie des faits de transports, détention, cession ou offre et usage de stupéfiants.
Son camarade, lui, déjà condamné à plusieurs reprises, conteste. Et a demandé un délai pour préparer sa défense. Ce qu’il a obtenu. Mais il restera en détention provisoire (à la maison d’arrêt de Blois, en Loir-et-Cher, afin d’éviter tout risque de concertation frauduleuse) en attendant son jugement, le 2 novembre. Un troisième homme est également impliqué, mais l’enquête se poursuit le concernant.
Seul M’Benba est jugé. De son box, ce jeune sans emploi ni permis, se débat entre ses différentes versions. Et dans un contexte particulier. Le 5 juillet, en effet, la brigade des stups a démantelé un gros trafic qui, depuis quatre ans, avait pris racine à la Rabière.
Des têtes tombent, et les policiers mettent la main sur 180.000 € en liquide ainsi que des kilos de marchandises. La nature ayant horreur du vide, d’autres ont tenté, presque aussitôt, semble-t-il, de prendre la place…
M’Benba trafiquait-il depuis seulement une semaine quand il a été arrêté ? Sa version ne convainc ni le tribunal, ni le parquet. Idem pour les sacoches. Il y en a trois. Il indique qu’elles sont à lui, puis deux, puis une seule… « Vous cherchez à protéger quelqu’un ? », l’interroge la substitut du procureur.
Quid de ses fournisseurs ? « Il n’y en a pas. » Ses clients ? « Cinq ou dix, pas plus. » Bref, il ne dit rien. Ou si peu.
Condamné, in fine, à douze mois de prison ferme à la maison d’arrêt de Tours qu’il a rejointe à l’issue de l’audience.
Adama et Demba Sene et leurs complices condamnés pour trafic de stupéfiants
«La tête du réseau », Adama Sene, a pris la peine la plus lourde. Huit ans de prison ferme, comme l’avait requis la procureure de la République à l’audience du tribunal correctionnel du Havre jeudi. Son frère, Demba, écope de cinq ans de prison contre six ans demandés par le parquet. Un autre frère et leur sœur sont moins impliqués dans cette affaire d’importation et trafic de stupéfiants ainsi que d’association de malfaiteurs. Ils sont respectivement condamnés à 36 mois dont 6 mois avec sursis et un an avec sursis. La famille Sene n’est pas la seule dans ce dossier. Âgés la plupart de 25 à 35 ans, dix-sept autres personnes sont concernées par ce procès commencé lundi et terminé jeudi : deux sont relaxées « à cause de preuves insuffisantes et non pas parce que vous n’êtes pas coupables », insiste la présidente.
Ce qui est reproché ? Des convois entre la Hollande et Le Havre dans le but d’importer de l’héroïne et de la cocaïne, drogues qui ont « arrosé » les quartiers de Bléville, la Mare-Rouge et Mont-Gaillard entre 2013 et 2016. Le problème ?
Comme les a nommés le parquet, « l’équipe des voyageurs », les huit prévenus qui ont donc participé aux convois, sont punis de huit, cinq, trois ou encore deux ans de prison. « L’équipe des revendeurs » composée de dix hommes écope de trois ans ferme au maximum et de dix-huit mois dont six mois avec sursis pour la peine la moins lourde. En dernière parole, Adama Sene se compare à « Saddam Hussein qui a été condamné alors qu’aucune arme de destruction massive n’avait été retrouvée »… Quant à son frère, Demba, hier en fin d’audience, il parle de racisme : « Il faut être blanc pour être relaxé ! », lâchera-t-il après avoir entendu sa peine.
Procès du gang Rroms des voleurs de fret: 430 000 € de préjudice
Le procès du gang roumain des voleurs de fret qui a sévi de 2013 à mai 2014 sur les aires d’autoroutes de Paris à la Franche-Comté s’est soldé par des peines de trois mois avec sursis à quatre ans ferme avec maintien en détention.
Sur neuf prévenus à comparaître parmi les treize mis en cause dans ce dossier portant sur 23 larcins pour un préjudice global de 430.000 €, onze ont été condamnés à de la prison ferme. Et un seul a quitté le tribunal pour la maison d’arrêt, les autres étant laissés en liberté, leur peine étant aménageable ou couvrant leur détention provisoire.
Le tribunal a en outre frappé au porte-monnaie en prononçant des peines de 1.000 à 40.000 € d’amende pour un total de 72.500 €. Tout en confisquant les scellés, dont 53.400 € en numéraire.
Rappelant que le montant du préjudice, soit 430.000€ « au bas mot, ne prend pas en compte les conséquences pour les entreprises, les assurances et donc au final tous les citoyens », le procureur Margaret Parietti a fustigé « un réseau organisé constitué de personnes pour la plupart issues de la région de Roumanie spécialisée dans de ces vols de fret qui pullulent et constituent une attaque certaine à la vitalité de notre pays. »
Bogdan Partusel (qui va écoper de 4 ans et 15.000 € d’amende), pointé comme le cerveau du réseau et décrit par les autorités roumaines comme la tête d’une organisation mafieuse. Claudiu Dolha (3 ans, dont un avec sursis, 7.500€ d’amende) décrit comme le bras droit. Cristian Milescu (4 ans dont 2 avec sursis et 40.000€ d’amende), l’homme d’affaires de Bucarest qui réceptionnait et écoulait les parfums.
Amal Saadi frappe sa femme : un an de prison ferme
Leur mariage n’avait duré que deux mois. De cette union est né un garçon, dont la mère a la garde. En début de semaine, Amal est rentré à son domicile, a frappé la mère et enlevé l’enfant. Il était présenté lundi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Cusset.
En début de semaine, Amal se trouve au domicile d’Alexandra, son ex-femme, avec qui il a eu un fils. Une dispute éclate, il la frappe et part avec l’enfant. Il sera rapidement rattrapé dans le Puy-de-Dôme.
Une caméra de vidéosurveillance située devant le domicile de la victime a tout filmé, de l’agression jusqu’au départ du prévenu. Les faits sont reconnus : « Je me suis emporté, j’ai foncé, je l’ai prise par les cheveux. Je n’aurais dû prendre que mon fils et me barrer. »
Le contexte est beaucoup plus flou. Amal et la victime sont restés mariés deux mois, en 2013. En avril dernier, le juge pour enfants indique que « la prise en charge quotidienne des enfants par Alexandra ne pose aucun problème. » Et que le père représente un danger, sur la base notamment d’un rapport psychiatrique accablant.
Mais le prévenu passe régulièrement à la maison, les voisins l’attestent, connaissent bien sa voiture et voient régulièrement la victime et ses enfants – nés d’autres mariages – monter dedans.
Le tribunal correctionnel de Cusset l’a condamné à un an de prison ferme avec mandat de dépôt.
30 mois ferme pour Khalil.G, le chauffeur du 19 tonnes qui a écrasé Chloé
Khalil G., 28 ans a été condamné vendredi par le tribunal correctionnel de Créteil à trente mois de prison ferme pour homicide involontaire. Il avait percuté un scooter rond-point de l’Europe et tué Chloé, 19 ans.
Le 16 juin 2015, son 19 tonnes et le cannabis qu’il avait fumé la nuit précédente n’avaient laissé aucune chance à Chloé, 19 ans. Khalil G., 28 ans a été condamné vendredi par le tribunal correctionnel de Créteil à quatre ans de prison dont 18 mois avec sursis pour homicide involontaire. Son permis de conduire a été annulé. Il ne pourra plus le passer pendant trois ans.
Il est 8 heures, la jeune femme est assise à l’arrière du scooter conduit par son père. En bac pro à la prestigieuse école de cuisine Ferrandi, cette ancienne candidate de « Top Chef » s’apprête à commencer un stage. Le deux-roues arrive de la rue des Halliers pour s’engager sur le rond-point de l’Europe. Le poids lourd aussi. Les véhicules démarrent au feu vert, puis le camion-benne se déporte « brusquement » sur sa droite, où se trouve le scooter, pour éviter les véhicules qui pouvaient arriver de la gauche, comme l’avait expliqué Khalil G.
Ce sont les cris du père de Chloé, la vision d’un casque et d’une « masse » dans son rétroviseur qui alertent le chauffeur. La jeune femme, qui vient de passer sous le châssis et une roue, meurt sur le coup : son décès est prononcé à 8 h 25. Dix minutes plus tard, Khalil G. est en garde à vue. Ce salarié d’une entreprise spécialiste du recyclage et de la valorisation des déchets, accro au cannabis depuis plus de dix ans, raconte avoir fumé « cinq ou six pétards » cette nuit-là et n’avoir pas vu le scooter dans son rétroviseur. Puis n’avoir sans doute « pas regardé ».
Khalil G. avait déjà quatre mentions à son casier judiciaire, dont trois en rapport avec les stupéfiants.
Ménard crée une nouvelle polémique avec des affiches « anti-migrants » à Béziers
Le maire de Béziers Robert Ménard a lancé une campagne d’affichage mardi dans les rues de Béziers. En cause : l’extension d’un Cada (centre d’accueil de demandeurs d’asile), qui va accueillir 40 places supplémentaires.
A l’inititative du maire de Béziers Robert Ménard, on peut voir des affiches dans les rues de la commune héraultaise sur lesquelles on peut lire : « Ca y est, ils arrivent, les migrants dans notre centre-ville. » L’affiche précise : « L’Etat nous les impose ».
Le maire de Béziers explique cette campagne dans un communiqué. « La mairie de Béziers a appris hier qu’un nouveau Centre d’Accueil des Demandeurs d’Asile (CADA) ouvrirait très prochainement. Un de plus. Et en plein centre-ville. », peut-on lire dans ce communiqué.
Encore une fois, le maire de Béziers reprend l’appellation de « migrant » donné par le système. Ce sont des envahisseurs !
La Le Pen oblige le FN belge à changer de nom
Le FN belge vient de perdre son procès en justice mardi 11 octobre. Il ne peut plus utiliser les marques du FN français et doit changer de dénomination selon la cour d’appel de Liège.
La 7e chambre de la cour d’appel de Liège interdit à l’association Front National belge de faire encore usage du signe « Front National belge » comme dénomination sociale. Elle le contraint également à ne plus recourir aux marques appartenant au Front National français. Il s’agit d’une confirmation d’une décision déjà prise en 2012.
Le parti belge va devoir changer sa dénomination sociale dans un délai de 3 mois à compter la signification de l’arrêt. Cette décision est assortie d’une astreinte de 2 500 euros par acte délictueux jusqu’à un plafond maximal de 250 000 euros.
La cour de Lège interdit aussi au FN belge d’utiliser son logo, la flamme tricolore noir-jaune-rouge, en raison de sa similarité avec sa marque.
Le site ww.frontnational.be renvoie déjà vers le site de Démocratie nationale, mouvement créé en 2012.
Etranger
Monde
Les Palestiniens pressent la Fifa d’agir contre le foot israélien dans les colonies
La fédération palestinienne de football presse la Fifa de mettre fin aux matches de clubs israéliens dans des colonies de Cisjordanie occupée, en la mettant en garde contre le risque de se rendre coupable de violations du droit international.
La fédération palestinienne a écrit à la fédération internationale quelques jours avant la réunion du comité exécutif des 13 et 14 octobre en Suisse. Le football israélien dans les colonies devrait figurer à l’ordre du jour du comité exécutif.
La communauté internationale considère comme illégale la colonisation, c’est-à-dire l’implantation par Israël de communautés civiles sur des territoires occupés comme la Cisjordanie.
Pour les Palestiniens, le fait que des clubs israéliens puissent disputer dans les colonies des matches reconnus par la fédération israélienne, et donc indirectement par la fédération internationale dont elle est membre, est une manifestation de plus de l’entreprise coloniale. La popularité du foot permet aussi d’attirer l’attention internationale sur la cause palestinienne.
Six clubs des 3e, 4e et 5e divisions israéliennes, considérées comme semi-professionnelles, jouent leurs matches à domicile non pas en Israël, mais en Cisjordanie, territoire occupé par l’armée israélienne depuis 1967.
Dans une lettre adressée au président de la Fifa Gianni Infantino, la fédération palestinienne demande à l’organisation de « mettre fin sans plus attendre à ces violations ». Ces matches ont lieu grâce à l’existence de pratiques jugées internationalement illégales, dit la fédération palestinienne dans cette lettre. Chaque terrain mis à la disposition des clubs des colonies et chaque licence permettant de disputer les matches sont une violation des textes internationaux comme les Conventions de Genève, dit-elle.
« La destruction et l’appropriation (par Israël) de biens dans de telles proportions, non justifiées par les nécessités militaires, (…) constituent un crime de guerre au regard de la loi internationale », dit-elle. Infantino avait assuré la semaine passée à l’AFP que la résolution de cette question était « une de (ses) priorités ».
Un ministre de l’entité sioniste pour l’amnistie d’un soldat ayant achevé un Palestinien
Le ministre israélien de l’Education Naftali Bennett s’est déclaré dimanche en faveur de l’amnistie d’un soldat israélien accusé d’avoir achevé un Palestinien qui avait attaqué au couteau des militaires à Hébron en Cisjordanie occupée.
Ce soldat « franco-israélien », Elor Azaria, est actuellement jugé par un tribunal militaire, sous l’accusation d’avoir achevé en mars d’une balle dans la tête Abdel Fattah al-Sharif alors que ce dernier gisait à terre, grièvement blessé et ne posant apparemment plus aucun danger.
La date du verdict n’a pas été fixée alors que le sort d’Elor Azaria divise profondément l’opinion israélienne entre ceux qui le défendent et ceux qui estiment qu’il doit rendre des comptes.
« Il ne faut pas que ce soldat passe une seule journée en prison. S’il est condamné, il doit immédiatement bénéficier d’une amnistie« , a affirmé à la radio militaire Naftali Bennett également chef du Foyer juif, un parti religieux colonialiste.
- Netanyahu avait lui aussi été critiqué pour avoir téléphoné quelque heures après le tir à Hébron au père du soldat pour lui exprimer sa sympathie et avoir ensuite assimilé le sort d’Elor Azaria à celui des militaires tués ou portés disparus durant des combats. Devant le tollé provoqué, M. Netanyahu avait dû revenir sur ses propos.
Une vidéo montre Elor Azaria en train de s’entretenir brièvement avec un soldat présent sur les lieux, puis mettre en joue Abdel Fattah al-Sharif et faire feu sur le corps allongé à quelques mètres.
Vidéo
Une volonté nous appelle
Ephéméride nationaliste
12 octobre 1870 : mort de Robert Lee
12 octobre 1907 : naissance de Jean-Louis Tixier-Vignancour
12 octobre 1973 : Juan Domingo Perón est de nouveau élu Président de la Nation argentine
Agenda
Bruxelles : Concert de Docteur Merlin 15 octobre 2016
Informations sur l’agenda Jeune Nation
© Jeune nation – 2016
Elena Grimaldi, circa1623, Antoine van Dyck
(National Gallery of Art – Washington)
Gilles Clavreul, Délégué Interministériel pour la Lutte contre l’Antisémitisme et le Racisme en France, participait au colloque organise a Paris par l’IAJLJ intitule : « Lutte contre l’Antisémitisme en Europe par des moyens légaux ou autres ».
http://www.intjewishlawyers.org/site/events-2016/
Dans On n’est pas couché du 8 octobre 2016, Richard Malka (avocat de Clearstream, Valls, Carla Bruni, etc) affirme : « Il est rock ‘n’ roll, DSK. Je défends la liberté quand je défends DSK. Je défends la liberté sexuelle, je défends la liberté de faire absolument ce qu’on veut dans sa sexualité à partir du moment où on est entre adultes et que c’est consenti. »
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/quelques-arguments-de-quelques-185417