Sam :
Saint Thomas d’Aquin
Frère prêcheur, docteur de l’Eglise (✝ 1274)
Dim :
Saint Gildas
Abbé en Bretagne (✝ 570)
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Robert Faurisson 88 ans : Vichy, 25 janvier 2017
- Persécutions judiciaires contre Henry de Lesquen
France
- Nagib, Mujdat, Akin.K: ligotent et menacent une retraitée avec une arme
- Un réseau de passeurs d’envahisseurs Sri-lankais démantelé
- Karim Benhaddad : agressions et harcèlements sexuels sur 9 femmes
- Nassim tire sur des Tchétchènes, libéré pour cause de justice lente
- B, photographe de mode, accusé de viols : huit plaintes
- Plus de 15 000 islamistes radicaux en France
- Financer Tsahal pour payer moins d’impôts en France !
- Le député de Corse Paul Giacobbi condamné à 3 ans de prison ferme pour détournement de fonds publics
- Macron, Fillon, Le Pen : tous contre l’augmentation des salaires les plus bas
Etranger
Europe
- Macédoine : après l’échec de la révolution colorée, la fondation Soros ennemi public n° 1
- Allemagne : menaces d’attentats à l’arme chimique
- Irlande : le Republican Sinn Fein lance une guerre aux dealers
Monde
- Nigeria : la femme kamikaze portait un nourrisson dans son dos
- Afghanistan : des gardes du vice-président Dostom arrêtés pour torture et viol
Vidéo
- La Réserve Fédérale américaine, le contrôle de l’argent par les Rothschild et Rockefeller
Radio
- Méridien Zéro – Orages d’Acier #48 – “Catholiques identitaires ?”
Ephéméride nationaliste
- 28 janvier 2014 : mort de Blas Piñar
- 29 janvier1895 : naissance de Paul-Marie Gamory-Dubourdeau
- 29 janvier 1941 : mort de Ioannis Metaxas
- 29 janvier 2012 : mort de Jean Castrillo
Agenda
- Dijon : Conférence d’Hélène Grimaldi, présidente du CFH
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Actualité nationaliste en France
Robert Faurisson 88 ans : Vichy, 25 janvier 2017
https://www.youtube.com/watch?v=xI3zT6pBcAI
Persécutions judiciaires contre Henry de Lesquen
Mercredi 25 janvier, Henry de Lesquen, Président de « Radio Courtoisie », a été condamné à verser 16 000 euros d’amende et des dommages et intérêts à des associations de lutte contre le racisme qui s’était constitué partie civile, pour « provocation à la haine et contestation de crime contre l’humanité ».
Lors de son procès, qui s’est déroulé le 9 décembre dernier, Henry de Lesquen en avait profité pour confirmer ses propos : « Je suis émerveillé de la longévité des rescapés de la Shoah morts à plus de 90 ans. Ont-ils vécu les horreurs qu’ils ont racontées ? La plantureuse S. Veil rescapée de la Shoah a 88 ans. À ma connaissance, elle va bien. » ; « À cause du cosmopolitisme, le coefficient de blancheur de l’équipe de France de balle au pied est en chute libre », en précisant que le « grand remplacement est déjà accompli à l’instar de la gare du Nord ».
France
Nagib, Mujdat, Akin.K: ligotent et menacent une retraitée avec une arme
Ils avaient ligoté la propriétaire d’une maison de Saint-Sulpice-sur-Risle avant de faire main basse sur 20 000 € de bijoux. Identifiés par leur ADN, trois hommes ont été condamnés à de la prison ferme.
Elle avait reçu des amis à dîner, ce soir du 28 avril 2014. Les invités ont quitté la demeure de Saint-Suplice-sur-Risle vers minuit. L’Ornaise de 61 ans a enclenché l’alarme avant de se diriger vers sa chambre. Sa fille de 27 ans était « montée se coucher » quelque temps plus tôt à l’étage.
Vers minuit et demi, l’alarme s’est déclenchée. Dans la foulée, la propriétaire a vu arriver, dans sa chambre, trois individus, gantés et encagoulés. « Ils m’ont ligoté les poignets avec des colliers de serrage et m’ont demandé où était le coffre, mes bijoux, mon argent ». L’un des trois hommes a pointé une arme sur sa tempe en lui demandant : « Ton argent ! ».
Son portable sonnait. « C’était la société de surveillance qui insistait et j’ai eu peur qu’ils découvrent ma fille. Son chien, qui était avec elle à l’étage, a aboyé. J’ai crié pour masquer l’aboiement. Mais l’un d’eux a dit : « Il y a un chien qui aboie » et ils sont partis ». Avec une « colonne de bijoux » d’une valeur de 20 000 €.
« J’ai eu peur de mourir », a confié la sexagénaire à la Cour d’Assises devant laquelle trois accusés étaient jugés pour vol avec usage ou menace d’une arme. Depuis cette nuit d’avril 2014, la propriétaire a « renforcé l’alarme, fait poser des détecteurs de présence sur le chemin, des barreaux aux fenêtres et installer des alarmes fumigènes ».
Après le départ des malfaiteurs, elle est parvenue à défaire ses liens « facilement ». Puis est montée voir sa fille. Qui s’était cachée. « J‘ai entendu ma mère crier. Je suis allée dans la salle de bain pour appeler les gendarmes. J’ai aussi appelé mon père. Je suis revenue dans ma chambre et par la fenêtre qui donne sur le chemin, je n’ai pas vu de voiture. J’ai voulu écouter ce qui se passait donc je suis retournée dans la salle de bain. Mon chien s’est mis à aboyer. Par la fenêtre, j’ai vu les mecs courir vers une voiture aux phares allumés, dans le chemin. Et ils sont partis ».
De gros travaux ont été réalisés sur la demeure entre juillet 2012 et février 2013. Ils ont été identifiés par leur ADN. Celui de deux d’entre eux a été retrouvé sur les colliers de serrage et celui du troisième, sur le téléphone portable de la victime, récupéré par les enquêteurs sur le talus d’une route qui relie Saint-Sulpice-sur-Risle à L’Aigle. Un gant, à proximité, portait également le même ADN que celui du téléphone.
Depuis leur interpellation, les trois hommes ont nié être les auteurs de ce vol. Mais à l’ouverture du procès d’Assises, l’un deux (et le seul à comparaître en état de récidive légale) a avoué. « J’ai bien été là, ce jour-là. On était parti pour un cambriolage», précise-t-il en détaillant les lieux et la maison.
Agé de 36 ans, son parcours est chaotique, comme celui de ses deux co-accusés, âgées de 31 et 35 ans. Il refuse de donner l’identité des co-auteurs du vol. « Je ne peux pas sinon j’expose ma famille à de fortes représailles », répond l’accusé.
Le co-accusé dont l’ADN a été retrouvé « mélangé » à celui qui reconnaît le vol, campe sur sa position. « Comment mon ADN s’est retrouvé là ? La seule chose qui me vient à l’esprit, c’est d’avoir touché des colliers sur un chantier ou dans une voiture qu’on a pris ensemble ! »
L’accusé dont l’ADN a été retrouvé sur le téléphone portable a notamment évoqué un auto-stoppeur qui lui aurait proposé un téléphone à vendre. D’où les traces ADN. Selon l’expert génétique, « cette thèse est hautement improbable. La trace d’ADN vient d’un contact direct ou d’un postillon de l’accusé sur le téléphone de la victime ».
La Cour d’Assises a finalement condamné Nagib R. (qui a reconnu les faits) à cinq ans de prison ferme. Mujdat K. et Akin K., qui ont toujours nié leur participation, ont, chacun, été condamnés à sept ans de prison ferme. Il leur est par ailleurs, interdit de détenir une arme sur une période de cinq ans.
Un réseau de passeurs d’envahisseurs Sri-lankais démantelé
Cinq personnes ont été interpellées, mises en examen et écrouées la semaine dernière dans le cadre d’une enquête sur le démantèlement d’un réseau d’immigration clandestine. Chacune d’entre elles avait un rôle bien défini. A 15 000 euros le passage, le réseau aurait engendré 750 000 euros en moins d’un an.
Entendus en garde à vue et mis en examen pour « aide à l’entrée et au séjour irréguliers », les cinq hommes ont été placés en détention provisoire.
L’enquête débute en mars dernier quand un homme de nationalité sri-lankaise est intercepté à l’arrivée d’un vol à l’aéroport de Roissy, alors qu’il dispose d’un passeport usurpé. Il est placé en garde à vue après avoir refusé à plusieurs reprises d’embarquer sur un vol retour. Rapidement, il va expliquer aux policiers qu’il est arrivé en France par le biais d’un réseau de passeurs. Depuis son arrivée à Paris, ce dernier le harcèle pour récupérer les
Rapidement, les policiers de la police aux frontières, saisis en commission rogatoire délivrée par un juge d’instruction du tribunal de grande instance de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, vont mener les premières investigations. Une enquête qui va reposer sur l’identification des différents membres du réseau et de leurs numéros de téléphone. Cette base de donnée va permettre des écoutes téléphoniques, qui vont conduire aux interpellations.
Ce travail permet d’établir qu’à la tête de ce réseau figure un donneur d’ordres. Il est également constitué d’un trésorier, chargé de la collecte des fonds auprès des familles en France mais aussi au Sri Lanka, de convoyeurs clandestins, d’un intendant, chargé de superviser les candidats à l’immigration, mais également leurs parcours pour arriver jusqu’à Paris, et de rabatteurs qui trouvent des « clients » et les conseillent sur les routes et transports à emprunter selon l’actualité.
Ce réseau de professionnels a fait l’objet d’écoutes pendant plus de huit mois jusqu’au 17 janvier dernier, jour des interpellations menées dans le nord de Paris, les Hauts-de-Seine et la Seine-Saint-Denis par la Brigade mobile de recherche de la police aux frontières de Roissy. Connectés entre eux par téléphone en permanence, les cinq suspects ont été arrêtés de manière concomitante. Ils ont été placés en garde à vue dans différents commissariats, pour 96 heures, comme dans les cas de criminalité en bande organisée.
D’abord muets, minimisant leur rôle ou rejetant la faute sur les autres lors des auditions, ils ont été confrontés aux éléments concrets dont disposaient les enquêteurs. Le donneur d’ordres a notamment reconnu 35 passages sur les 50 identifiés par les policiers, soit 565 000 euros de gains. A 15 000 euros le passage, le réseau aurait récolté au total 750 000 euros.
Lors des perquisitions, de l’argent liquide – environ 12 000 euros – des faux documents, des cartes SIM, des bordereaux de transfert d’argent et des ordinateurs ont été saisis. « Tout l’atelier du petit faussaire », commente un enquêteur.
Karim Benhaddad : agressions et harcèlements sexuels sur 9 femmes
Curzay-sur-Vonne. L’ancien responsable des écuries du domaine profitait de sa position hiérarchique pour “ motiver ” le personnel… à sa manière.
Le responsable des écuries et de la clientèle, mari d’une des propriétaires du domaine, Karim Benhaddad, ancien cavalier professionnel, avait tendance à se montrer un peu trop proche. Jeudi après-midi, cet homme âgé de 58 ans, qui n’y travaille plus, était au tribunal correctionnel de Poitiers. Quatre heures trente d’audience pour répondre d’agressions sexuelles, harcèlements sexuels et violences, entre 2012 et 2016. Il avait été placé sous contrôle judiciaire le 11 février 2016.
Neuf jeunes filles (dont trois mineurs à l’époque des faits), employées aux écuries, esthéticienne, hôtesse d’accueil, assistante de direction, serveuse ou apprentie ont porté plainte contre le quinquagénaire. « Comment vont mes bébés, comment vont mes chéries ? » Le ton était paternaliste, décomplexé. En garde à vue, il avait reconnu « un comportement anormal, extravagant. » A la barre, il confirme : « Mon comportement ne se fait pas dans le monde du travail. C’était trop familier, je l’ai réalisé après. » Les agressions sexuelles et violences ? « Je réfute totalement. Je devais seulement remettre de l’ambiance au bar et au salon. »
Dressé aux attentes d’une clientèle bourgeoise, le quinqua ne prenait pas de gants : « Trop coincée, pas assez sexy, jupe trop longue. » Il y avait aussi des gestes déplacés, des SMS, des bisous volés, des propos sexistes ou obscènes… Cinq jeunes femmes étaient assises sur le banc des parties civiles. « Je confirme tout ce que j’ai dit aux enquêteurs », affirme la première qui recevait des sms salaces même pendant ses congés. Les faits sont contestés par le prévenu. « Je ne suis pas quelqu’un de vulgaire. Mais il est vrai que j’adorais son parfum. » A la seconde, avec qui « il abordait des sujets de nature sexuelle tous les jours », il aurait soulevé la robe « pour voir si elle avait des collants ou des bas. » Une troisième : « Un jour, il a essayé de m’embrasser. Les attouchements et gestes déplacés étaient réguliers. » Karim conteste. « Elle aussi, elle ment ?, le questionne le procureur de la République. Tout le monde ment, alors ? » « Oui… » rétorque Karim.
Une autre jeune fille, considérée comme victime par les enquêteurs mais qui a refusé de porter plainte, émet un bémol. « J’étais mineure quand je suis arrivée au château. Je suis très contente de ce qu’il m’a appris. Effectivement, il a peut-être essayé de séduire mais ça n’a jamais été très loin. C’est un cadre de vie superbe, un lieu de travail exceptionnel. J’ai eu l’occasion de me retrouver avec Karim dans son camion, il ne s’est jamais rien passé. Il est peut-être un peu lourd dans sa façon de parler. Moi, je le prenais au second degré. »
Il a été requis 18 mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant deux ans, une obligation de soins et d’indemnisation des victimes (l’une d’elle demande plus de 20.000 €) et l’inscription au fichier des délinquants sexuels.
L’affaire a été mise en délibéré au 16 février.
Nassim tire sur des Tchétchènes, libéré pour cause de justice lente
Un « jeune » soupçonné d’avoir tiré des coups de feu en janvier 2016 vient d’être remis en liberté. En cause, la lenteur de la justice.
Nassim, incarcéré en février dernier dans une affaire de tentatives de meurtre et d’assassinat dans le quartier du Clou-Bouchet à Niort vient d’être remis en liberté sous contrôle judiciaire par la chambre de l’instruction pour cause de lenteur.
Si le « jeune », soupçonné d’être l’un des deux tireurs qui ont fait feu lors de trois épisodes sur des Tchétchènes en janvier 2016 a bien été mis en examen quelques semaines plus tard à Poitiers pour tentative de meurtre puis écroué, depuis, il ne s’est rien passé. Sa remise en liberté a été refusée plusieurs fois dans des conditions contestées par son défenseur.
A la barre, Nassim répète qu’il n’a pas tiré sur les Tchétchènes. Jamais. Deux autres jeunes garçons sont mis en examen dans ce dossier, dont Gaëtan, l’autre tireur présumé, reconnu par des témoins… à ses yeux.
Le maintien en détention provisoire de Nassim pose problème, l’avocat général en convient. « Il aurait dû être entendu par le juge d’instruction », note Jean-Paul Garraud, tout en soulignant le caractère très grave de ce qui s’était passé « ces réglements de comptes entre communautés. Un contexte très particulier et très dangereux. »
Les titulaires se sont concentrés sur un dossier de trafic de stupéfiants en détention. « Ce n’est pas la faute de mon client si la justice manque de moyens. Trois juges n’ont rien fait. Il faut maintenant arrêter l’hémorragie judiciaire. On sait qu’il ne se passera rien avant mars, on sera alors à plus d’un an de détention. »
Il tacle au passage le JLD et un mauvais copier-coller dans l’ordonnance de refus de remise en liberté où le magistrat ne prend pas en compte le nouveau lieu d’accueil du jeune homme s’il était libéré.
La chambre de l’instruction décide finalement de remettre Nassim en liberté sous contrôle judiciaire. « On a dépassé la limite raisonnable », explique le président Jacob en relevant que cette situation n’était pas imputable aux juges d’instruction.
Les 12, 13 et 21 janvier 2016, huit coups de feu avaient été tirés. Un Tchétchène sera sérieusement blessé par deux tirs le 13 janvier.
Salim.B, photographe de mode, accusé de viols : huit plaintes
Brooke entend ainsi exprimer sa colère. Et veut par-là inciter d’autres victimes à sortir de l’ombre.
« Je suis fâchée ! » assène cette jolie brune avec ses mots de français, son regard vert rivé au vôtre. Cette Américaine de 25 ans est parmi les premières à avoir porté plainte pour viol contre le photographe de mode Salim B. C’était en avril 2015. Repartie aux Etats-Unis depuis, elle pensait sa démarche oubliée des autorités. Jusqu’à ce qu’elle apprenne, à l’automne, que son agresseur présumé avait été interpellé et incarcéré.
Depuis octobre 2016, Salim B., Marocain de 32 ans, mis en examen pour quatre des huit plaintes qui le visent, dort en prison.
Brooke a donc découvert qu’elle n’était pas la seule à accuser cet homme. Mais son histoire est singulière. Elle n’avait pas sollicité Salim B. pour une séance photo. Alors qu’elle était étudiante en management, cette passionnée d’art et de photographie voulait le rencontrer pour « discuter technique ».
« Je lui ai écrit, car je trouvais son travail magnifique. Je voulais apprendre de lui. » Après des échanges sur un site, Salim B. lui propose un rendez-vous. Un jour de janvier 2015, Brooke se retrouve chez lui, à Paris. « Il m’a offert un verre de vin, raconte-t-elle. J’ai dit oui. J’ai regardé s’il mettait quelque chose dedans parce que je me méfie, mais je n’ai rien vu. Alors, j’ai pensé que c’était OK. Mais après, tout est devenu flou. J’ai pensé : C’est bizarre, pourtant je tiens l’alcool, et là, je suis bourrée avec un seul verre. Puis j’ai fermé les yeux… »
L’Américaine poursuit : « Quand je me suis réveillée, j’étais complètement nue. Il était nu aussi. C’était horrible. Il m’a touchée… J’étais paralysée, je ne pouvais pas bouger. C’était comme un rêve… Je ne sais pas comment je suis rentrée chez moi. Quand j’ai émergé, j’ai compris qu’il m’avait touchée et que je n’étais pas d’accord. J’ai réussi à reconstituer ce qui s’est passé. Je sais ce qu’il m’a fait. Il a pensé que j’oublierai. Mais je me souviens. »
Révoltée, la jeune femme décide d’alerter sur la page Facebook du photographe : « N’allez pas chez Salim B. » « Il a réagi en me menaçant. Il m’a dit qu’il avait fait des photos pornos de moi et qu’il allait les diffuser, affirme-t-elle. J’ai eu peur… J’ai supprimé mes messages. » Quelques mois plus tard, Brooke porte plainte. Les policiers l’envoient procéder à une analyse toxicologique, qui décèle des traces de médicaments. « Après ça, je n’ai plus eu de nouvelles. J’ai pensé que mon cas n’importait pas parce que j’étais étrangère. »
En fait, Brooke perd pied. Elle lâche ses études. S’enferme chez elle. Se met à boire… « J’avais peur de sortir. J’étais triste, toujours fâchée, je pleurais tout le temps. » Il y a un an, elle se résout à repartir à New York. Elle y travaille à mi-temps dans un bar et ne va guère mieux. « Cet homme a gâché ma vie. A cause de lui, j’ai quitté la France et ce n’est pas juste. Je veux qu’il reste en prison. Je veux la justice, pour moi et pour les autres. Parce que la vie est dure et que des choses comme ça la font plus dure. » Elle lève le poing : « Je suis prête à lui être confrontée. »
Plus de 15 000 islamistes radicaux en France
Aucun département n’est épargné par le phénomène. Les services de police et de renseignement ciblent près de 15 000 individus islamistes radicaux susceptibles d’être dangereux pour la France. 18% seraient mineurs.
Entre 15 et 16 000, c’est le nombre d’islamistes radicaux recensés en France. Parmi eux, plus de 4 000 vivent en Ile-de-France, dont 1 238 riens que pour Paris. Une base de données nationale créée en 2015 a permis d’établir cette carte précise de la radicalisation en France en identifiant les individus les plus sensibles. Sur les 16 000 identifiés, un tiers est considéré comme particulièrement dangereux. Ils sont suivis spécifiquement par la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).
Plus de 11 000 font l’objet d’une prise en compte par le renseignement territorial et 500 ne comporte plus de risques. Un travail rendu possible grâce à la coopération entre différents services de lutte contre le terrorisme. Ce fichier a permis également de recenser les professions occupées par ces personnes radicalisées. Elles travaillent en majorité dans les transports, la sécurité privée et l’administration.
Des métiers en lien avec un large public !!!
Financer Tsahal pour payer moins d’impôts en France !
Financer Tsahal pour payer moins d’impôts en France, c’est non seulement possible, mais c’est même de plus en plus facile.
Une déduction fiscale est en effet appliquée lorsqu’est financée une association qui vient en aide à l’armée de l’entité sioniste, à Gaza ou en Cisjordanie, c’est-à-dire dans les Territoires palestiniens.
Au regard de la loi, il suffit qu’une association soit déclarée d’intérêt général pour que cela donne le droit à 60% de réduction d’impôts à ses donateurs, dans la limite de 20% du revenu imposable.
Le problème, c’est qu’au regard du droit international, les colonies israéliennes sont illégales. Mais il n’y a pas que cela. « On trouve des associations qui financent très directement des colonies ou qui financent Tsahal, reconnaît Laurent Bonnefoy, chercheur au CNRS. On a eu, par exemple, l’une d’entre elles qui a lancé une campagne pour financer des lampes torches qui seraient fixées sur les fusils M16 des soldats israéliens ».
Donc si vous êtes un particulier, 60% de votre don sera déductible des impôts. Il suffit pour cela de remplir un formulaire, comme l’explique le chercheur : « On peut obtenir ce que l’on appelle un formulaire Cerfa, et ce formulaire Cerfa permet d’obtenir les deux tiers de son don en abattement fiscal. Ça va donc pour une association qui intervient dans le cadre aujourd’hui de l’effort de guerre israélien sur Gaza. »
On peut également se convertir en ligne, contre un modeste forfait variant de 800 à 2 200 dollars comme on peut le lire sur cet article : Internet Makes Jewish Conversion More Accessible for Some.
Le député de Corse Paul Giacobbi condamné à 3 ans de prison ferme pour détournement de fonds publics
Le député Paul Giacobbi, député divers gauche de Haute-Corse, Franc Macon de la GLF, a été condamné à trois ans de prison ferme et à 5 ans d’inéligibilité le 25 janvier 2017. Il est accusé de détournements de fonds publics,
Renvoyé en correctionnelle en novembre dernier, le député de Haute-Corse était accusé de détournements de fonds publics dans le cadre de l’affaire dite « des gîtes ruraux ». Entre 2008 et 2011, le conseil départemental de Haute-Corse qu’il présidait aurait versé 480 000 euros de subventions frauduleuses.
Fils et petit-fils de député, il soutient aujourd’hui Macron !
Macron, Fillon, Le Pen : tous contre l’augmentation des salaires les plus bas
Les actionnaires du CAC 40 augmentent leurs dividendes, les banques font de nouveau le plein de profit.
Pourtant trois candidats majeurs à l’élection présidentielle ont affirmé récemment qu’il ne fallait pas augmenter le SMIC. Pour rappel, le SMIC c’est à peine 9,76 euros brut de l’heure et presque 2 millions de français vivent avec le SMIC.
Est-ce que la Le Pen, Fillon et Macron sont prêts à dire les yeux dans les yeux à ces français qui travaillent et vivent seulement avec le SMIC qu’ils coûtent trop chers ?
Mercredi 25 janvier encore, la Le Pen s’est exprimée contre la hausse du SMIC : « Je n’ai jamais proposé d’augmenter le Smic », a-t-elle assuré au micro d’Europe 1 !
Etranger
Europe
Macédoine : après l’échec de la révolution colorée, la fondation Soros ennemi public n° 1
Après Viktor Orban en Hongrie, c’est au tour de Nikola Gruevski, le leader du parti au pouvoir le VMRO-DPMNE, de qualifier la fondation Open Society du milliardaire américain Georges Soros « d’ennemi de la nation ».
En effet les pseudopodes de la fondation du milliardaire juif tentent depuis des mois de faire tomber le parti au pouvoir afin de le remplacer par les leaders de l’opposition de tendance euro-atlantiste. Mais sans succès. Les pressions, grèves, manifestations et quasi-émeutes mises sur pied par les pseudo ONG de « défense des droits de l’homme et des libertés civiles » n’ont pas permis à l’opposition d’arriver en tête aux législatives de décembre dernier mettant en échec la stratégie de révolution colorée.
Et mercredi 18 janvier, un mouvement « Stop Soros » a même été lancé à Skopje. Une nouvelle initiative appelée Opération d’arrêt Soros (SOS), un mouvement dédié à arrêter le mal causé par le milliardaire mondialiste, Geroge Soros, a été lancé. Les fondateurs de SOS ont appelé les citoyens du monde entier à « lutter contre un esprit dans le secteur civil conçu et dirigé par George Soros ». Le mouvement a été mis en place pour exposer « les activités subversives de toutes les organisations de George Soros dans le pays. »
Allemagne : menaces d’attentats à l’arme chimique
Selon les informations de l’Office fédéral de police criminelle de l’Allemagne, des islamistes souhaitent et possèdent des moyens de stocker des produits chimiques en grande quantité ayant pour but de les utiliser pour parvenir à leurs fins.
Ces informations parues dans un rapport de l’Office titré « Une analyse des risques pour la population civile » ont été reprises et publiées par le quotidien allemand Bild.
Le rapport en question considère un empoisonnement de l’eau potable ou de la nourriture par des produits chimiques comme « une scénario bien réel ». Parmi les menaces à considérer figurent les attaques terroristes contre l’industrie chimique.
Ce rapport explique toutefois en détails tous les dangers de l’utilisation des armes chimiques et indique des mesures de sécurité que devront prendre les hôpitaux et les pompiers.
Irlande : le Republican Sinn Fein lance une guerre aux dealers
Si les organisations de gauche en France ne sont pas bavardes concernant le trafic et la consommation de drogue, ça n’est pas le cas en Irlande.
Le Republican Sinn Féin, parti républicain irlandais – dissocié depuis 1986 du Sinn Fein et ne reconnaissant pas les accords de paix ni la partition de l’Irlande ou la légitimité du Stormont, le parlement nord irlandais – vient de publier un communiquer appelant à s’opposer aux dealers de drogue dans toute l’île mais plus particulièrement à Cork, où de nouvelles drogues de synthèse ont fait leur apparition et commencent à faire des ravages.
« Les républicains à Cork sont actuellement préoccupés par cette nouvelle «drogue de synthèse» qui est responsable d’un certain nombre de morts à travers la ville et le comté. Nous exhortons toutes les communautés locales à lutter contre les trafiquants de drogue dans leurs communautés. » explique le Sinn Fein.
« Le Gardaí (NDLR : police irlandaise) ne peut pas être présente à tout moment, il appartient donc à chaque personne de rester vigilant. Cette drogue éloigne nos enfants de nous, détruit leurs esprits innocents, brise les foyers et provoque une flambée de la violence à travers la ville.» poursuit le parti Républicain Irlandais.
« Si quelqu’un connait un dealer qui s’occupe de cette saleté, signalez-le à un républicain local ou en message privé sur notre site web. Ces vermines ne méritent que des douleurs pour ce qu’elles ont causé à de nombreuses familles en Irlande. Nous appelons également les parents à éduquer leurs enfants sur les dangers des drogues et ce qui pourrait arriver s’ils les prennent.». On imagine mal Europe les Verts qualifier les dealers de « vermines ».
En Irlande, et notamment en Irlande du Nord (chez les catholiques comme chez les loyalistes) des groupes armés font carrément la chasse aux dealers ; on ne compte d’ailleurs plus le nombre de balles dans le genou mise par les membres de l’IRA dans les années 70 à tous les jeunes qui étaient pris en train de dealer de la drogue.
D’ailleurs à Dublin, c’est à une véritable guerre des gangs que l’on assiste depuis plusieurs années, ponctuée, de temps à autre, par des assassinats. On se souvient encore de l’assassinat d’Alan Ryan, membre de l’IRA, par des trafiquants de drogue.
Monde
Nigeria : la femme kamikaze portait un nourrisson dans son dos
Une femme kamikaze portait un bébé sur son dos lorsqu’elle s’est fait exploser le 13 janvier dans le nord-est du Nigeria, où sévit le groupe islamiste Boko Haram. Il peut s’agir d’une nouvelle tactique de la part de Boko Haram pour permettre aux kamikazes de se fondre dans la population avant de commettre une attaque.
« D’après le rapport que nous avons reçu après l’attentat de Madagali (le 13 janvier), l’une des femmes kamikazes avait un bébé attaché dans le dos », a affirmé le coordinateur de l’Agence nationale de gestion des urgences (NEMA) dans l’État d’Adamawa, Saad Bello. « Il s’agit d’un cas isolé et il serait prématuré d’en tirer des conclusions définitives pour dire que l’utilisation de bébés dans les attaques-suicides est devenue une tendance », a-t-il ajouté.
Le 13 janvier, deux personnes avaient été tuées et 15 blessées dans une série d’explosions à un poste de contrôle tenu par des chasseurs locaux, ainsi qu’à un poste militaire et à une gare routière en périphérie de Madagali.
Le groupe jihadiste, qui a pris les armes en 2009 et tente d’instaurer un califat islamique dans le nord-est du Nigeria, a recours à des kamikazes depuis 2014. Des femmes et des jeunes filles, voire des enfants, sont régulièrement utilisés pour perpétrer des attentats contre la population en ciblant des marchés, des postes de contrôle, des gares routières ou encore des mosquées et des églises. Le 11 décembre dernier c’était deux petites filles d’environ 7 ans qui se sont ainsi fait exploser dans un marché de Maiduguri, la capitale de l’État du Borno, faisant au moins 17 blessés et un mort.
Afghanistan : des gardes du vice-président Dostom arrêtés pour torture et viol
Le procureur général d’Afghanistan a ordonné l’arrestation de neuf gardes du corps du puissant général Dostum, ex-chef de guerre et actuel vice-président, accusés d’avoir violé et torturé un rival de leur patron, a indiqué mardi un responsable.
Abdul Rachid Dostum, dont le nom est associé à une série de crimes et d’abus, aurait ordonné à sa garde personnelle de capturer son rival Ahmad Ishchi, un ancien gouverneur qu’il aurait séquestré, fait torturer et sodomiser.
Les faits se sont déroulés fin novembre dans la province de Jowzjan, son fief du nord, pendant un tournoi de bouzkachi, le sport traditionnel afghan où des équipes à cheval se disputent une carcasse de chèvre ou de veau. Dostum est accusé d’avoir gardé son rival en otage pendant cinq jours sur sa propriété.
« Les enquêteurs ont lancé un mandat d’arrêt contre neuf des gardes du corps de M. Dostum impliqués dans cette affaire » selon le porte-parole du bureau du procureur, Jamshid Rassouli. « Ils ont également demandé à M. Dostum de répondre à leurs requêtes, personnellement ou par la voie des ses représentants légaux » a-t-il ajouté.
Le procureur avait ordonné une enquête après que la victime eut subi un examen médical sur la base américaine de Bagram, au nord-est de Kaboul, confirmant les violences sexuelles.
Le général Dostum, qui n’était pas disponible mardi pour commenter, est récemment rentré à Kaboul escorté d’un immense convoi de plusieurs centaines de combattants, au moins 2 000 selon la presse locale, occasionnant un fort déploiement de sécurité et de nombreux bouchons dans la capitale. Il a jusqu’à présent démenti ces accusations et proposé de résoudre l’affaire par un canal traditionnel de médiateurs tribaux plutôt que par voie de justice.
Le général Dostum est connu pour ses accès de colère et son passé agité. En 2001, il avait fait prisonniers des milliers de talibans qui avaient ensuite été exécutés ou étaient morts asphyxiés dans les conteneurs où ils avaient été entassés. Mais le président Ashraf Ghani n’a eu d’autre choix que de l’inviter à rejoindre son gouvernement d’union nationale pour s’assurer le soutien de la minorité ouzbèke dont il fait partie.
Vidéo
La Réserve Fédérale américaine, le contrôle de l’argent par les Rothschild et Rockefeller
https://www.youtube.com/watch?v=liFj60czyGw&sns=fb
Radio
Méridien Zéro
Orages d’Acier #48 – “Catholiques identitaires ?”
L’équipe de Fréquence Orages d’Acier vous propose une réflexion sur ce qui ressemble pour certains à un oxymore de la famille nationaliste…
L’émission est ici
Ephéméride nationaliste
28 janvier 2014 : mort de Blas Piñar (biograpphie)
29 janvier1895 : naissance de Paul-Marie Gamory-Dubourdeau (biograpphie)
29 janvier 1941 : mort de Ioannis Metaxas (biograpphie)
29 janvier 2012 : mort de Jean Castrillo (biograpphie)
Agenda
Dijon : Conférence d’Hélène Grimaldi, présidente du CFH
28 janvier 2017 à 18h00
© Jeune nation – 2017
Moulin à Charenton, années 1750, François Boucher
(musée des beaux-arts – Orléans)
Pour des juifs, il est impossible de transporter un objet entre l’espace privé et l’espace public. Mais un système a été établi afin de contourner cette règle qui consiste à transformer symboliquement toute une ville, un quartier ou un immeuble en un seul espace privé. Ce système est actuellement en expansion partout dans le monde, de l’Amérique latine à l’Australie en passant par l’Europe, particulierement dans le Nord-Est parisien.
https://www.cairn.info/revue-ethnologie-francaise-2013-4-page-641.htm
L’idée était de créer un réseau-frontière de fermes peuplées de colons-soldats.
https://www.scienceshumaines.com/la-promesse-de-l-est_fr_37489.html
Une société ne se suicide-t-elle pas en ne promouvant pas en ses filles la vraie « culture, poésie et amour » qui imprégneront leurs futures familles, et par celles-ci toute la société ?
http://www.revue-item.com/12235/couleur-et-poesie/
Grosse ambiance en perspective ce week-end aux JAM 2017 !
https://www.evensi.fr/1eres-journees-arts-maconniques-2017-grande-loge-de-france/196623388
Didier Cohen et Philippe Setbon ont des parcours parallèles. Tous deux sont romanciers, scénaristes, auteurs de séries de télévision, de longs-métrages pour le cinéma.
https://www.didiercohen.fr/