La LICRA, et à l’initiative de cette association israélite-ci –, SOS-Racisme, le MRAP et la LDH unissent depuis plusieurs mois leurs efforts pour faire taire les Français qui refusent la colonisation et l’insupportable police de la pensée. Ils ont convoqué le président de leur République pour l’engager à combattre plus encore « l’antisémitisme et le racisme » alors que la « parole se libère ».
Abandonnant toute affaires cessantes écoutes, lutte contre le chômage, recherche d’avion et sorties nocturnes en scooter, François Hollande a immédiatement ouvert les portes de l’Élysée et reçu avec une même obséquiosité traître et étrangers. La LICRA s’est vantée d’une « première dans l’histoire du mouvement antiraciste ». Le grand rabbin de la LICRA, Alain Jakubowicz, nommant désormais les associations communautaristes juives et africaines « universalistes », a réclamé une « parole forte » mais aussi – surtout – des moyens. De l’argent, donc. Parce que « le mouvement antiraciste a besoin d’être soutenu matériellement », pour combler la ruine du combat antiraciste.
Les quatre représentants de l’anti-France (outre Alain Jakubowicz déjà nommé, Pierre Mairat, vice-président du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, Pierre Tartakowsky, président de la Ligue des droits de l’Homme et Ibrahim Sorel-Keita, vice-président de SOS Racisme comme caution afro-maghrébine) ont réclamé, entre autre et pêle-mêle, la création d’un ministère de l’Égalité, le droit de vote des étrangers aux élections locales, l’arrêt des contrôles d’identité contre les racailles et les étrangers, l’arrêt de la lutte contre l’invasion, l’arrêt des démantèlements des camps illégaux des Gitans, la réforme des lois sur l’immigration, etc.
Ils se sont montrés pessimistes, constatant « leur difficulté à mobiliser sur ces thèmes », sous-entendu mobilisation populaire, l’argent des contribuables continuant à couler à flot, et la « libération de la parole raciste et antisémite ». Une libération qui inquiète ceux qui ne peuvent vivre qu’au milieu d’esclaves.