Après la trêve des confiseurs et l’extinction des lampions, l’année 2020 démarre sur les chapeaux de roues. La tension américaine au Moyen-Orient aboutit à un dommage « collatéral » à Téhéran avec 176 passagers morts dans un avion abattu par un missile iranien. Les incendies de forêts en Australie dévastent le pays dans des proportions gigantesques. Les spéculateurs boursiers sont à la fête et engrangent des profits inattendus et incongrus. De Hong Kong à Rio, et de Alger à Bagdad, les peuples manifestent leur mécontentement. On vit une époque formidable : les « Gilets Jaunes » vont aller manifester pour le 60ème Samedi consécutif et les syndicats radicaux poursuivent les grèves pour la défense de leurs privilèges, en contradiction avec la solidarité des travailleurs du secteur privé, moins bien lotis quant à leur retraite. Il devient donc urgent de trier nos ordures politiques !
Effectivement, si le combat contre la pollution de l’environnement est nécessaire, combattre la pollution des esprits est également indispensable.
Depuis trop longtemps, les contribuables, les parents et les électeurs assistent béats à la destruction de notre civilisation par des technocrates qui imposent leurs schémas et leurs dogmes, au nom d’un égalitarisme impalpable.
Quiconque s’oppose à cette décérébration mondialiste se voit taxer de « politiquement incorrect ».
Ceux qui se battent depuis des années contre les valets de BIG BROTHER sont poursuivis en France, ou ailleurs en Europe, par la police de la pensée.
Cela a trop duré ! Nous sommes responsables de l’héritage légué par nos ancêtres et du patrimoine que nos aïeux ont enrichi à force de ténacité et de sueur au cours des siècles. Nous devons en répondre devant nos enfants et leurs descendants. Socialement, économiquement et culturellement il est urgent d’opérer une révolution mentale.
Il faut en finir avec la dictature socialo libérale qui permet l’ascension des parasites au détriment de l’individu compétent. Il faut en finir avec la Nouvelle Religion « droit de l’hommiste » qui génère la crapule s’imposant face aux honnêtes gens. Il faut punir ce régime de pourriticards qui a enfanté des bataillons de corrompus, petits et grands, en ridiculisant les personnes intègres.
La Liberté doit accoucher d’un Front du Refus. Quand l’oisiveté et le vice prennent le pas sur la compétence et l’efficacité, alors la révolte se justifie par des rejets populaires. La rébellion des « Gilets Jaunes » en est la parfaite illustration, avant sa récupération par les activistes gauchistes.
Pourquoi ? Parce que : *les parents ont vu s’effondrer les jalons qui garantissaient un enseignement de qualité et vu aussi la violence envahir les salles de cours, parce que la discipline est absente !
*les enfants ont constaté que de nombreux diplômes ne leur permettaient que l’accès au chômage. Par ailleurs, il existe aussi plus de 1.500.000 analphabètes dans l’Hexagone. Surprenant.
*les patrons, artisans et commerçants sont spoliés par l’Administration et ne sont plus défendus par leur corporation. En 2019, la pression fiscale atteint 46% du P.I.B, la plus forte du monde et pour la seconde année consécutive.
*les automobilistes, englués dans des bouchons sans fin, sont cloués au pilori pour le moindre prétexte et proprement rackettés par les taxes, accises et autres amendes.
*les contribuables français voient d’année en année leurs impôts et les taxes augmenter et le gouffre de la dette s’approfondir (2.432 milliards € au 12 janvier 2020, soit 38.726 euros par habitant : c’est criminel). Chaque jour la dette augmente de 230 millions d’euros !
Partout, le malaise est palpable et c’est ce que nous constatons tous les jours dans nos quartiers : l’envahissement de notre économie par des multinationales étrangères,
le métissage de notre population par une immigration hors contrôle,
et l’insécurité permanente dans nos rues et les transports publics
trois aspects de notre quotidien imposés par les laquais du mondialisme et les gourous du multiculturel. Leur échec est évident !
Pour sortir du gouffre, il faudra donc éliminer les incapables et trier les ordures politiques lors des prochains scrutins.
Pieter KERSTENS