Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, l’apparition d’internet et des réseaux sociaux n’a en rien redonné une certaine indépendance aux individus face à la massification amenée par la télévision dans l’après-guerre.
On reste sans voix, comment le développement de technologies de la communication toujours plus poussées peut-elle ainsi conduire l’humanité à un fonctionnement de plus en plus grégaire ?
Un troupeau de bovidés ou d’ovidés, ça ne fait envie à personne, et pourtant, c’est sans hésitation que les gens acceptent de se regrouper en troupeaux de covidés, pire, on peut parier que les gagnants sont ceux qui s’intègrent le mieux au troupeau et non ceux qui se tiennent à l’écart (les Covidiots).
Quelque chose cloche, on parle de sociétés individualistes, mais où sont les individus, où sont les sociétés ? Les vrais individus sont dans une vraie société. Pour les nationalistes, ça sent la catastrophe, la France avait besoin de Français, forts, fortement français, or, manifestement, les covidés n’ont rien de spécialement français et n’ont pas besoin de l’être.
Ontologiquement, ça commence à poser un problème, les antispécistes ont raison, mais ce n’est pas tant que les animaux soient en train de gagner une dignité supérieure, c’est plutôt que l’homme est en train de renoncer à la sienne.
La question se fait de plus en plus insistante, quelle est la valeur de l’homme ? La prochaine étape d’internet, c’est l’internet des objets : courage, on peut encore descendre d’un étage.
La preuve en images !
Troupeau de Bovidés :
Troupeau d’Ovidés :
Troupeau de Covidés ?
Francis Goumain
Très bien trouvé ! je suis covidiote !!!!
Les « 300 » de Gédéon
Les « 300 » de Léonidas
A quand les « 300 » « Évolutionnaires » faisant table rase des (R)-évolutionnaires?