L’affaire a commencé il y a longtemps sur les réseaux sociaux. Lors d’un banal échange, Thierry Van de Plas, conseiller municipal du parti Centre démocrate humaniste (CdH) de Crainhem, en Belgique écrivait :
« Pour moi, c’est clair, j’ai investigué dessus, je me suis littéralement plongé dedans, j’ai été consulter des archives à Auschwitz, j’ai rencontré un juif ancien déporté, j’en ai parlé avec des historiens de musée de la déportation, j’en ai parlé avec un ancien résistant devenu révisionniste, j’ai lu un tas de trucs. J’ai été cherché des bouquins, j’ai rencontré Faurisson et ma conclusion est la même qu’Olivier Mathieu : “Les chambres à g…, c’est du bidon” »
précisant ensuite :
« Je ne demande pas de me croire, je ne cherche pas à faire du prosélytisme, j’incite juste ceux qui sont intéressés par le sujet à un avoir un esprit très critique ou même plus, un esprit d’enquêteur qui attend des preuves. »
L’affaire est arrivée jusqu’aux oreilles de la LIC[R]A locale, la Ligue belge contre l’antisémitisme (LBCA), qui a lancé contre lui une vaste campagne de haine, relayée par les nombreux médiats aux ordres du Lobby.
Annonçant à ses correspondants le scandale qui venait d’éclater en Belgique à la suite des propos d’un élu qui avait tenu des propos révisionnistes, le professeur Faurisson faisait l’historique de la fameuse phrase qui avait valu à cet élu belge l’opprobre de la communauté belge dans son ensemble. Voici tout d’abord cet historique :
« Dans les années 1980 [il y a donc 34 ans!], je m’étais permis de lancer la formule : « Les chambres à gaz, c’est du bidon ». Le 16 février 1990, Olivier Mathieu, d’origine belge, lors d’une émission de Christophe Dechavanne, « Ciel, mon mardi ! » avait courageusement lancé : « Faurisson a raison : les chambres à gaz, c’est du bidon ». Il avait été sévèrement rossé en direct et dans les coulisses par des amis de Jean-Pierre Pierre-Bloch et des membres du Bétar, tous invités par C. Dechavanne. Son amie avait également été frappée ; hospitalisée, elle avait avorté.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=RG0ME5Y8Se0[/youtube]
La formule a été récemment scandée à Paris par un groupe de manifestants sur les Champs-Élysées.
Cette fois-ci, elle vient d’être reprise par le Belge Thierry Van de Plas, échevin de la commune de Kraainem (région de Bruxelles). Sur plainte de la Ligue belge contre l’antisémitisme, le Comité déontologique (sic) du Centre démocrate humaniste (sic), se réclamant de la pensée d’Emmanuel Mousnier (sic), a exclu de ses rangs le jeune téméraire qui venait de confirmer qu’il était bien révisionniste, qu’il avait étudié la question des chambres à gaz nazies, qu’il s’était rendu à Auschwitz, qu’il avait rencontré Faurisson (ce que je confirme), etc. Aux dernières nouvelles, contrairement à d’autres qui après un premier moment d’audace et de franchise ont pris peur et abandonné le combat, le jeune ingénieur ne s’est pas renié. Affaire à suivre ! »
Un peu plus tard le Pr Faurisson écrivait:
« J’apprends qu’aux toutes dernières nouvelles il [Thierry van de Plas] vient de se renier. Nulle surprise, à vrai dire. Tant d’autres ont été pris de venette au premier méchant coup de vent. Et tant d’autres ont craqué au bout de plusieurs années. C’est qu’il est périlleux le grand voyage au bout de la nuit sur la galère révisionniste.
Le voilà qui se révèle marin d’eau douce. Le voilà qui, par sa propre faute, se trouve aujourd’hui pris dans une situation encore pire que s’il avait maintenu le cap. Il nous dit qu’il a, PAR LE PASSÉ, “déconné” ; erreur: il est, AUJOURD’HUI, pris d’une peur panique, qui se comprend. Elle est millénaire. En latin, elle s’appelle « metus Judaeorum » : « la peur des juifs » avec son mélange vicieux de génitif subjectif (la peur qu’éprouvent les juifs) et de génitif objectif (la peur que provoquent les juifs). Experto crede Roberto.
Affaire à suivre (bis). Robertus Faber »
Entre temps, l’élu a en effet cédé face aux pressions et aux menaces.
« Je suis en colère parce qu’on me salit [sic] en insinuant que je suis négationniste [sic]. […] Je répète uniquement la phrase que dit un [révisionniste] dans une émission télé dont je partageais l’extrait vidéo. C’était un chat privé. J’ai déconné, je l’ai reconnu, mais c’était une conversation “à chaud” avec une personne avec qui j’avais eu un débat passionné »
a-t-il tenté de se justifier avant de tenter de séduire ses bourreaux :
« Un de mes grands-pères a été dans les camps, l’autre a été obligé de travailler [!] en Allemagne. J’ai régulièrement organisé des événements mettant en évidence la culture juive, qui m’intéresse beaucoup »
Mais comme de nombreux autres avant lui, Thierry Van de Plas a fait une amère expérience : ces reniements n’ont servi à rien. En plus de son honneur, il a perdu toutes ses délégations au conseil municipal de Crainhem – en attendant son départ, ses collègues ayant clairement exprimé leur volonté qu’il démissionne – et a été exclu de son parti.
« Ils ne m’ont même pas appelé pour me demander de m’expliquer. Ils salissent les gens et je le regrette. C’est contre-productif pour la lutte contre l’antisémitisme »
a réagi le révisionniste honteux à propos de la LBCA contre laquelle il prétend vouloir porter plainte.
(Jeune nation avec Bocage)
Thierry Van de Plas est un C O N !
Au lieu de trembler des guiboles et de faire dégouliner son front de grosses gouttes en se reniant, il aurait mieux fait de se chercher des alliances fraternelles et indéfectibles au sein de son parti voire ailleurs,, afin que soit constitué un véritable rempart de résistance.
Un parti en exclue 1 aussi aisément qu’on défèque. Mais quand il y a 10 gusses qui disent ouvertement la même chose au sein d’un même parti et se serrent les coudes, c’est le parti qui s’écrase !
Maintenant qu’il est exclu, il a une alternative :
1 – ramper ventre contre terre jusqu’à la ligue anti-belge pour la défense de la show-à-business et pisser dans son froc en s’excusant de demander pardon
2 – Envoyer paître les hypocrites du système et défendre son honneur et sa fierté en revendiquant clairement la paternité de ses propos… Et continuer dans cette voie sans la quitter.
Si vous voulez, je peux lui dire moi-même !
Voilà; ce qui a été dit ci-dessus est fait via Facebook
J’espère qu’il aura reçu le message parce que je ne sais pas très bien comment m’y prendre.
Thierry Van de Plas vient de recevoir mon message figurant ci-dessus.
La « LBCA » établit un lien direct entre la recherche de la vérité historique et ce qu’elle appelle l »antisémitisme ». Le philo-sémitisme serait donc du côté du mensonge historique (dissimulé grâce au refus de toute recherche de la vérité) ? À ce compte-là, la LBCA devrait s’auto-intenter un procès pour « antisémitisme » !