L’European Jewish Association (EJA), la plus grosse fédération d’associations juives en Europe, exige de pouvoir porter des armes, un droit interdit aux Européens, notamment sous la pression du lobby juif. Cette demande a été adressée directement au Parlement européen.
« Les attentats de Paris, ainsi que les nombreux défis et menaces auxquels ont été confrontés la communauté juive européenne [sic] au cours des dernières années, ont révélé le besoin urgent d’arrêter de parler et de commencer à agir. […] Nous demandons par la présente que les lois sur les ports d’arme soient réexaminées avec effet immédiat pour permettre aux personnes désignées dans les communautés et institutions juives de posséder des armes pour la protection de leurs communautés »
prétend le rabbin Menachem Margolin, directeur général de l’EJA.
Si de telles mesures discriminatoires devaient être prises, elles s’ajouteraient à la protection exclusive des lieux de cultes étrangers par la police et l’armée décidée en France, au détriment des intérêts du peuple français, comme c’est le cas en Belgique ou en Grande-Bretagne.
Menachem Margolin demande de surcroît que la formation soit assurée par les autorités locales, avec l’argent des contribuables.
Sans se préoccuper du sort des Européens sur leur propre terre, il exige que l’Union européenne s’assure « que l’ensemble de l’institution juive en Europe soit complètement sécurisé », se désignant clairement comme une communauté extérieure à l’Europe et devant bénéficier de loi particulière et faisant des Juifs des plus-que-citoyens. Dès mercredi, une délégation de l’European Jewish Congress (EJC, Congrès juif européen) s’était invitée auprès de la chef de la politique étrangère de l’UE Federica Mogherini, qui a, en quelques semaines, multiplié les marques de soumission à Israël.
« Maintenant plus que jamais, l’Union européenne a besoin de créer un poste et une organisation spécifiquement orientée vers la recherche de solutions durables contre l’antisémitisme et d’autres formes de racisme. Il incombe à l’Union européenne de faire de la lutte contre l’antisémitisme l’une de ses plus hautes priorités parce que c’est une haine qui transcende les frontières et ne peut être traitée par une seule nation spécifiquement »
avait alors précisé le président de l’EJC Moshe Kantor, mêlant suprémacisme juif et volonté mondialiste antinationale.
L’AJE prétend vouloir que la population juive reçoive « la formation nécessaire pour protéger leurs membres contre les attaques potentielles de terroristes. » Rappelons que de nombreuses milices violentes et parfois terroristes sont actives en Europe. Les Européens, et particulièrement les Français, ont été victimes de leurs crimes à de nombreuses reprises, et jusqu’à payer du prix de leur vie la folie criminelle de l’occupant, comme François Duprat, assassiné le 18 mars 1978. Ces milices terroristes ont été parfois armées et entraînées par les services officiels de police. C’est le cas en France. Dans Le Monde du 7 mars 1986, la femme de Laurent Fabius déclarait :
« Extraordinaire nouveauté dans le comportement politique, la gauche a permis à des milices juives de s’installer dans des quartiers à Paris, mais aussi à Toulouse, à Marseille, à Strasbourg [et d’avoir] des contacts réguliers avec le ministre de l’Intérieur. »
Il est certain que ce n’est pas l’ultrasioniste Manuel Valls qui a mis fin à cette tradition républicaine.