L’UE refuse d’ouvrir des négociations sur le retour des quotas d’immigrés comme demandé par le peuple suisse le 9 février et condamne toute volonté d’imposer une préférence nationale… Qu’attend le gouvernement suisse et ses parlementaires pour prendre des mesures fortes afin d’obliger l’UE à s’asseoir à la table des négociations ?
Rien.
La vérité est que le système politique suisse ne fonctionne plus. Le peuple est appelé à voter pour des initiatives qui, si elles ne plaisent pas aux mondialistes, ne sont et ne seront jamais appliquées.
La démocratie parlementaire des partis en est la principale responsable. Elle n’est plus « démocratie », mais ploutocratie (pouvoir de l’argent). Tous les grands partis ont aujourd’hui besoin du soutien financier du monde économique pour fonctionner.
Cette dépendance au monde financier explique la réticence de nos politiques à appliquer des initiatives populaires allant contre les sacro-saints commandements du libéralisme déclarant que tout peut s’acheter et se vendre sans entrave nationale ou douanière.
Les hommes sont des facteurs de production et doivent pouvoir se déplacer d’un endroit à un autre du globe sans entrave selon cette maxime appliquer par l’UE.
Les politiciens suisses veulent obtenir, ou garder, leur place dans les prestigieux sièges d’administrations de multinationales euromondialistes et s’opposent donc avec vigueur à toute récupération de notre souveraineté nationale.
L’UDC est le seul grand parti à ne pas obéir aux injonctions de l’UE, car elle est dirigée par de grands entrepreneurs suisses ne voulant pas perdre leurs parts de marchés face à leurs concurrents internationaux plus puissants au cas où le marché suisse continuerait à se libéraliser.
Bref, la gouvernance de notre pays n’est plus qu’une question d’argent et de marché et notre peuple est voué à disparaître en silence. L’initiative du 9 février comme celle du renvoi des étrangers criminels ne seront jamais appliquées par l’alliance des partis bourgeois mondialistes qui dirigent notre parlement (PLR, PDC, Verts Libéraux).
RH demande donc le remplacement du Conseil national par un conseil des corporations et l’abolition des partis politiques.
Ce nouveau parlement serait constitué de 200 représentants de tous les milieux socio-économiques de Suisses (ouvriers, paysans, patrons, artisans) et aurait comme but de proposer des lois qui seraient ensuite acceptées ou non par le Conseil des États formé d’un seul représentant pour chaque canton. Représentant cantonal élu pour ses compétences et non pour son appartenance à un parti.
Retrouvons notre liberté, changeons les institutions !
(Source : Résistance helvétique)