Lors de la mort du terroriste marxiste et raciste antiblanc Nelson Mandela, Marion Maréchal-Le Pen avait vanté une Afrique du Sud devenue « un exemple de réconciliation des communautés » n’existant que dans les cerveaux malades des élites du système. La réalité de l’Afrique du Sud ruiné par le Congrès national africain (ANC, National Congress), les lecteurs de Jeune nation la connaissent bien. Ces derniers jours, à l’appel du chef de la « nation zouloue », une vaste chasse aux immigrés s’est produite dans les zones contrôlées par les Zoulous, qui forment environ 20 % de la population d’Afrique du Sud. Les violences ont fait sept morts parmi les immigrés.
Depuis, plusieurs pays riverains ont appelé leurs ressortissants à quitter l’Afrique du Sud. Signe que la violence peut parvenir à des résultats là où les moyens politiques traditionnels ont échoué, selon les médiats, plusieurs centaines d’étrangers sont retournés dans leur pays au Malawi, au Mozambique ou au Zimbabwe.
« Nous aurions pu être tués, car ces Sud-Africains chassaient les étrangers de maison en maison. C’est mieux d’être pauvre que d’être pourchassé comme du gibier parce que vous êtes étranger »
a témoigné une ressortissante du Malawi après avoir quitté l’Afrique du Sud, affirmant ne jamais vouloir revenir dans le pays.
Après plusieurs jours sans réaction, alors que les émeutes se sont calmées, ce qui sert de gouvernement au pays a annoncé la mobilisation de l’armée hier.
« L’armée est la dernière ligne de défense. […] L’armée va être utilisée comme force de dissuasion contre la criminalité que nous observons »,
a affirmé la ministre de la Défense Nosiviwe Mapisa-Nqakula lors d’une visite dans le township d’Alexandra à Johannesburg.
Grâce aux Blancs, l’Afrique du Sud a connu durant plusieurs décennies une prospérité ignorée de tous les pays de la région, provoquant un afflux massif de migrants venus de tout le sud de l’Afrique, venant profiter de la mise en valeur des terres par les Européens.
Ce travail, sous la double pression du mondialisme libéraliste et du marxiste soviétique, a été miné durant plusieurs années jusqu’à conduire à l’effondrement du pouvoir blanc au début des années 1990. Depuis, le pays s’enfonce dans le chaos racial, économique, sécuritaire.
Après avoir chassé les Blancs pour voler les richesses qu’ils étaient incapables de produire, certains groupes d’Africains présents en Afrique du Sud parfois depuis seulement quelques centaines d’années, s’attaquent donc désormais à leurs congénères qui profitent des derniers fruits de trois siècles de travail des Blancs.