Habitons-nous chez le voisin ou bien à part, dans un autre appartement que le sien ?
Cette saine mesure a toujours gagné à être appliquée… pour la tranquillité de tous !
Agités par les médiats et des groupes communautaristes, en plus des ethno-masochistes blancs libéralistes et marxistes qui les soutiennent bêtement, les étudiants noirs se laissent aller aux révoltes sur les campus universitaires. Ils y bénéficient pourtant déjà d’admissions indues, car reposant sur la discrimination dite ‘positive’ leur permettant de s’inscrire par préférence ethnique au détriment de Blancs, même quand leur niveau scolaire les en empêcherait.
‘Antiracisme’ est un nom de code pour racisme anti-blanc
Une jeune étudiante d’une université étatsunienne a relayé un article soulignant le caractère communautariste des mouvements de protestation de l’Université du Missouri, où les Noirs se prétendent victimes de tout ce qu’ils peuvent inventer. Ils ont même déploré, non pas les attaques meurtrières perpétrées contre la France le 13 novembre 2015, mais qu’elles auraient occulté, dans les médiats d’outre-Atlantique, leur mini-révolte relayant les délires des #BlackLivesMatter. Ils ont enfin soutenu qu’ils seraient eux-mêmes victimes de l’équivalent de ces attaques terroristes dans les universités qu’ils occupent !
Le but de cette surenchère est probablement d’obtenir encore plus d’assistanat en direction des étudiants noirs, espérant probablement que l’étape suivante consistera à leur faire cadeau des diplômes universitaires au nom de la « discrimination positive » qui leur réserve déjà des places indues.
« En vertu des lois sur la discrimination positive, il suffit actuellement souvent de cocher une simple case indiquant son appartenance [ethnico-raciale non blanche] au moment de l’inscription pour remporter des points supplémentaires. »
Le quotient intellectuel (QI) moyen des étudiants à l’entrée à l’université et plus largement dans tous les pays d’Occident a connu une forte baisse. Or, par conformisme cosmopolite, les effets de la télévision sur les capacités cognitives ont été jugés comme seuls responsables. Pourtant, la télévision ne peut décemment pas expliquer à elle seule le plongeon de plus de 10 % de la moyenne (!) à l’entrée des facs américaines… quand on les a ouvertes au contingentement sur critères ethniques, toutes les minorités se voyant alors attribuer des places malgré de moindres capacités intellectuelles. Il est évident que si ces étudiants divers avaient eu le même niveau scolaire que les Blancs, ils n’auraient pas eu besoin de places réservées sur critères raciaux.
Bref, il en a coûté à cette jeune étudiante victime de l’antiracisme institutionnel, c’est-à-dire du racisme anti-blanc, la perte de son travail et elle subit désormais la pression d’autres étudiants qui voudraient qu’elle soit expulsée de sa formation. Mais de quoi se mêlent-ils ? S’ils lui reprochent de s’être préoccupée de ce qui se passait dans une autre université que la sienne, retournons-leur le reproche de s’occuper de sa vie à elle, alors qu’ils ont certainement bien assez à faire avec la leur propre et dans laquelle ils disent tellement souffrir !
D’autant plus que le président des étudiants, de ladite université du Missouri agitée par les revendications ultra-communautaristes noires, a été contraint, ensuite, de présenter ses excuses. En effet, il avait annoncé « une menace confirmée [sic] du Ku Klux Klan sur le campus ». Or, il a été révélé qu’il avait menti.
Encore et toujours cette inversion accusatoire prétendument ‘anti-raciste’… mais dirigée – et appuyée par des mensonges – à l’encontre des Blancs. CQFD !
Se prétendant blanche, elle profère des menaces terroristes contre son lycée
Cette inversion accusatoire est d’ailleurs souvent nourrie par des intrus qui trompent leur monde.
Ainsi, la lycéenne âgée de 17 ans Shalaria Jones a-t-elle proféré des menaces terroristes, à distance, contre son établissement scolaire après avoir prétendu – détail qui semblait important dans sa démarche de terreur – être… blanche !
Un étudiant africain menace de tuer tous… les Noirs !
Menaçant l’Université de Saginaw (Michigan, frontalier du Canada par les Grands Lacs), Emmanuel Bowden a diffusé sur le site Yik Yak Read :
« Je vais tuer toutes les personnes noires que je pourrai sur le campus. À partir de demain matin ».
Mais il n’en a rien fait, vu qu’il lui aurait fallu se suicider, pour appliquer l’adage selon lequel Charité bien ordonnée… commence par soi-même !
Abandonnés au milieu des émeutes raciales intra-universitaires, des étudiants blancs s’organisent
Victimes du terrorisme des #BlackLiveMatters et de leur racisme antiblancs, des étudiants de l’Illinois ont créé la page Facebook de L’Union des étudiants blancs de l’Illinois (Illini White Student Union). Apparemment, la confrontation avec une réalité quotidienne hostile a commencé d’ouvrir les yeux de quelques-uns.