« Pendant des années, les jeunes nationalistes ont souffert de l’union de toutes les forces malsaines. Les francs-maçons étaient unis, cela n’avait rien d’incompatible avec leur soi-disant patriotisme. La canaille marxiste était unie, elle disait en ricanant : « Travailleurs de tous les pays, unissez-vous ». Les forces d’argent étaient unies ; les banquiers de Paris, de New-York, de Bruxelles ou de Londres s’entendaient admirablement. Mais nous, patriotes, nous devions nous détester et nous haïr. Nous, qui étions poussés par la ferveur révolutionnaire, nous devions nous ignorer. Eh bien! tout cela est fini. Contre les internationales juive, moscoutaire et financière, s’est créée maintenant l’internationale de la jeunesse révolutionnaire.
Ils ont été les maîtres hier, avec nos armes nous serons les maîtres demain. »