« Dans un monde dominé par la cupidité, l’ignorance et la haine, il serait vain, voire inopportun, de se réclamer en direct seulement d’une filiation historique fasciste. Il reste dans chaque pays, en premier lieu la France, de mettre en avant La Défense et l’illustration d’un nationalisme d’appellation d’origine contrôlée, intelligent et civilisé. Désormais, c’est le seul chemin qui mène à Rome, dans la mesure du possible. »
Combien Pierre SIDOS a raison de voir le principal dans le nationalisme, le sentiment national conscient, et non dans tel ou tel régime politique. Mais le fascisme a été l’idéal nationaliste de la jeunesse, et nous devons rendre hommage aux victimes fascistes de la sanglante « Epuration » gaulliste. Les frères SIDOS eux-mêmes ont connu prison et camp de concentration pour leur appartenance au Parti Franciste. Avant-guerre Robert BRASILLACH, assassiné par les gaullistes en1945, était frappé par « la joie fasciste », réalité qui méritait de rester gravé en nous, qu’elle dure ou non. Il dit, dans son roman « Les Sept Couleurs », Réflexions, 30: ………………………………………………………………………………….. « Car l’extravagance des adversaires du fascisme se trouve avant tout dans cette méconnaissance totale de la joie fasciste. Joie qu’on peut critiquer, joie qu’on peut même déclarer abominable et infernale, si cela vous chante, mais joie. Le jeune fasciste, appuyé sur sa race et sur sa nation, fier de son corps vigoureux, de son esprit lucide, méprisant les biens épais de ce monde, le jeune fasciste dans son camp, au milieu des camarades de la paix qui peuvent être les camarades de la guerre, le jeune fasciste qui chante, qui marche, qui travaille, qui rêve, il est tout d’abord un être joyeux. Le comitard radical, le maigre conspirateur judéo-socialiste, le consommateur d’apéritifs, de motions et de compromis, peut-il comprendre cette joie? Avant de la juger, il faut d’abord savoir qu’elle existe, et que le sarcasme ne l’entamera pas. Je ne sais pas si, comme l’a dit Mussolini, « le vingtième siècle sera le siècle du fascisme », mais je sais que rien n’empêchera la joie fasciste d’avoir été, et d’avoir tendu les esprits par le sentiment et par la raison.