Après plus de seize mois de persécutions, la justice grecque a annoncé hier le renvoi de 72 nationalistes devant les tribunaux. Alors que les banquiers qui ont pillé le pays avec la bénédiction des gouvernements successifs sont libres, que des centaines de milliers de délinquants étrangers sont en liberté dans les rues du pays, les patriotes seront jugés pour une prétendue « organisation criminelle », à savoir l’Aube dorée (XA, Χρυσή Αυγή).
Le mouvement politique, qui existe depuis trente années – il a fêté le 1er janvier le 30e anniversaire de sa fondation –, n’avait jamais connu une telle vague de répression, malgré d’innombrables attaques en trente ans, autant policières et judiciaires qu’extra-judiciaires, menées par les « antifas », idiots utiles de la dictature libérale.
Ces accusations mensongères ont permis de maintenir en prison depuis un an et demi plusieurs dizaines de patriotes grecs, notamment huit députés, et de ralentir l’ascension des patriotes, dont l’audience a décuplé en quelques années. Il est pourtant parvenu lors des dernières élections législatives à devenir le troisième parti de Grèce ; les Grecs ont renvoyé siéger au Parlement la plupart des députés sortants emprisonnés.
Les persécutions ont commencé après la mort accidentelle d’une racaille rouge, l’antifasciste violent Pavlos Fyssas, un rappeur connu pour appeler au meurtre dans ses chansons. Il était tombé ce jour-là sur plus fort que lui et avait succombé. Ce fut le prétexte attendu par la junte au pouvoir depuis des mois pour lancer les persécutions, après avoir promis au Congrès juif mondial (WJC, World Jewish Congress) de parvenir à l’interdiction des idées nationales.
À l’inverse, les policiers n’ont jamais enquêté réellement après l’assassinat prémédité et organisé des deux héros grecs Giorgos Fountoulis et Manos Kapellonis. Leur meurtre, comme les autres attaques terroristes subies par les militants nationalistes, n’a été suivi par aucune arrestation ; aucun groupe n’a été dissous, aucun chef de groupuscule ouvertement terroriste n’a été emprisonné.
Malgré l’absence de preuve et la faiblesse du dossier, la justice a été contrainte à cette mise en accusation : elle doit en effet organiser le procès avant la fin mai, sans quoi les nationalistes devraient être relâchés.
Outre les arrestations, la persécution a conduit de nombreux militants à perdre leur travail, à devoir abandonner leurs études, etc. Pourtant, même en empêchant le financement pourtant obtenu légalement du mouvement, l’Aube dorée (XA, Χρυσή Αυγή) a non seulement survécu, mais a obtenu le 25 janvier dernier un député de plus qu’elle n’en avait.
Hier, les dirigeants nationalistes de plusieurs pays (Roberto Fiore pour Forza Nuova (FN, Force nouvelle), , Jens Pühse pour le Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD, Nationaldemokratische Partei Deutschlands), Stephan Jacobson pour le Parti des Suédois (SvP, Svenskarnas Parti). La France était représentée par Yvan Benedetti, Alexandre Gabriac et Olivier Wyssa ; les députés européens de l’Aube dorée étaient également là.
À l’issue de la conférence de presse sur le thème des violations des droits de l’homme en Grèce, a été annoncée la naissance de l’Alliance pour la paix et la liberté (APL, en APF en anglais, Alliance Peace & Fredom).
Approuvez vous l’existence des droits de l’homme tels qu’ils ont été défini par la DDHC issue du massacre de 1789 ? La question que je pose n’a aucun sous entendu.
Cordialement,
En tant que tels, non ; ils représentent en grande partie l’idéologie que nous combattons, ses mensonges et ses illusions. Cela ne signifie pas que tout ce qui est défendu au nom des « droits de l’homme » soit à jeter.
Les droits de l’homme n’ont pas établis de nouveaux droits, ils ont établis l’idéologie dominante en rejetant les fondamentaux de nos sociétés traditionnelles comme l’existence de Dieu et de l’ordre naturel qui nous régissent ici bas. Ils reprennent certaines choses qui existaient déjà en les détournant comme la liberté . Le système s’en sert comme d’un rempart, quiconque remet en cause ce texte pour telle ou telle raison est ainsi discrédité.