C’est dans la soirée du vendredi 23 janvier 2015 que le groupe militant Lyon nationaliste organisait sa traditionnelle galette des Rois, réjouissance qui se tint cette année dans son nouveau local !
Après avoir fait quelques emplettes au stand de la librairie Akribeïa, venue spécialement pour l’occasion, et à la boutique nationaliste du local, le public nombreux qui s’était pressé pour assister à l’événement put déguster les assiettes et les délicieuses galettes préparées par les Caryatides de la section de Lyon, tandis que les différentes interventions entrecoupaient les agapes !
Les deux premiers intervenants furent des militants de Lyon nationaliste : tout d’abord, ce fut son responsable qui souhaita la bienvenue aux personnes présentes et présenta brièvement son mouvement, ses réalisations passées et ses prochaines activités, avant de céder la parole à un autre militant, qui fit un point sur l’actualité internationale de ces dernières semaines, d’un point de vue français et nationaliste !
Puis, l’invité principal de la soirée prit la parole et tint son auditoire en haleine durant tout son exposé ! Il s’agissait d’André Gandillon, directeur du journal Militant et président de l’association des Amis de Rivarol, dont un certain nombre d’adhérents et de fidèles lecteurs du journal figuraient parmi l’assemblée. Après une présentation de la revue qu’il dirige, André Gandillon mit l’accent sur un sujet trop peu abordé par les nationalistes – et donc laissé en pâture aux adeptes des dérives idéologiques les plus incongrues – à savoir l’économie, sujet qu’il maîtrise sur le bout des doigts !
Ensuite, ce fut au tour d’Alexandre Gabriac, conseiller régional et fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) dissoutes, de s’adresser à son tour à l’assistance pour une allocution traitant de la radicalité et du refus de toute concession au système, appuyant son propos sur l’exemple du mouvement grec de l’Aube dorée (XA, Χρυσή Αυγή), qu’il avait eu l’occasion de visiter et d’observer personnellement il y a deux ans.
Enfin, le dernier orateur fut Yvan Benedetti, président envers et contre tout de l’Œuvre française, et dirigeant de Vénissieux fait Front. Il évoqua durant son discours l’hystérie collective autour du « Je suis Charlie » et les conséquences importantes de cette affaire, mais aussi l’annulation des élections municipales à Vénissieux – ou il avait réalisé un score supérieur à 10 % aux dernières élections, déclenchant les foudres du système et des mouvements inféodés à celui-ci, FN en tête – avant de terminer sur l’espérance qui est et doit être nationaliste.
Puis la soirée se conclut joyeusement en discutions amicales autour de quelques verres, bus entre Français authentiques et nationalistes blancs, confiants en la certitude de leur victoire et persuadés que la délivrance de leur terre aurait lieu tôt ou tard !