Jean-Jacques Bourdin persiste et signe. En février, lors d’un entretien avec l’affairiste maçon Roland Dumas, il avait poussé ce dernier à faire part de ses sentiments peu amènes sur le pouvoir, l’influence et le lobby juifs ; le présentateur de RMC l’avait particulièrement poussé à décrire l’influence juive s’exerçant sur Manuel Valls. Les médiats avaient alors pu créer une vaste polémique artificielle, qui fut l’occasion pour Roland Dumas de s’expliquer, notamment sur son mépris pour Dieudonné, comme sur ses manipulations de la loi qui ont permis à l’escroc Jacques Chirac d’être président de leur République.
Malgré une mise en demeure adressée par le CSA à BFM TV et à RMC, Jean-Jacques Bourdin a récidivé hier, poussant Jean-Marie Le Pen à répéter ses propos sur la prétendue “Shoah”. Interrogé sur d’éventuels regrets après avoir déclaré que les prétendues chambres à gaz étaient un « point de détail de l’Histoire », le président d’honneur du Front national a répondu par la négative.
« Ce que j’ai dit correspondait à ma pensée, que les chambres à gaz étaient un détail de la guerre, à moins d’admettre que c’est la guerre qui était un détail des chambres à gaz. Je maintiens, parce que je crois que c’est la vérité et que ça ne devrait choquer personne »,
a-t-il répété. Ces propos ne devraient en effet choquer personne, mis à part les historiens révisionnistes et les nombreux citoyens qui affirment que les chambres à gaz ne sont pas un détail, mais un mensonge.
Comme elle le fait depuis de nombreuses années, Marine Le Pen a immédiatement tenu à rappeler combien elle était, elle, totalement soumise au Lobby et au politiquement correct :
« Je suis en profond désaccord avec Jean-Marie Le Pen, tant sur le fond que sur la forme. Quant aux “fervents pétainistes”, cette déclaration est hallucinante. Je n’en connais aucun au Front, et le candidat [aux départementales] qui avait repris la devise de Pétain est convoqué devant la commission de discipline »,
a précisé Marine Le Pen. Son père avait en effet prétendu que les homosexualistes gaullistes et pro-Israël cohabitaient au FN avec de « fervents pétainistes » et des partisans de l’Algérie française. Il sera désormais intéressant de savoir quelle sera la réaction de Jean-Marie Le Pen quand le candidat sera exclu pour avoir simplement utilisé la devise de Saint-Éloi : travail, famille, patrie, lui qui ne s’est guère offusqué des dizaines de limogeages de militants honnêtes et dévoués quand le parti était envahi de l’autre côté par des arrivistes, militants homosexualistes, marxistes ou gaullistes. Dans cette guerre menée contre la France et les Français, et ici jusqu’au sens et à la vérité des mots, il serait également intéressant de savoir ce qui déplaît à Marine Le Pen dans cette devise.
« Nous sommes en désaccord profond. J’en ai pris acte et je veux croire, quand même, que ceux qui nous rejoignent, ceux qui votent pour nous, ont compris. On peut dire ce que l’on pense, mais le Front national a quand même une ligne, laquelle est portée par sa présidente. Les propos de Jean-Marie Le Pen n’engagent que lui. Il est dans la provocation volontaire »,
a ajouté Marine Le Pen.
La première mention du « point de détail », en 1987 sur RTL, avait valu à M. Le Pen une condamnation à verser 1,2 million de francs à 11 associations.
http://www.dailymotion.com/video/x2liyh1_jean-marie-le-pen-persiste-sur-les-chambres-a-gaz_news
En affirmant que les chambres à gaz sont un détail, Jean-Marie Le Pen confirme pourtant qu’il croit à la version officielle imposée par les armées criminelles russo-américaines à la fin de la Seconde Guerre mondiale en se partageant l’Europe. Il a d’ailleurs ajouté hier devant Jean-Jacques Bourdin :
« Tout ça est horrible, la guerre est horrible vous savez… un éclat d’obus qui vous déchire le ventre, une bombe qui vous décapite, une chambre qui vous asphyxie, tout cela est assez ignoble, c’est vrai »,
tout en refusant d’aller, comme sa fille ou Gilbert Collard, de faire de la prétendue « Shoah » le crime (sic) des crimes, comme si les centaines de millions d’êtres humains réellement morts dans des guerres depuis le début de l’histoire de l’humanité devaient s’effacer et disparaître une nouvelle devant le mythe qui permit autrefois à l’État criminel d’Israël de voir le jour.
À l’opposé de Charles Maurras ou de Saint-Louis, il a par ailleurs fait état chez lui d’une totale toute absence d’antisémitisme :
« Je mets au défi quiconque de citer une phrase antisémite dans ma vie politique »,
a précisé le président d’honneur du Front national.
L’affaire a été l’occasion d’une nouvelle passe d’armes virtuelle entre le président d’honneur du FN et Gilbert Collard. L’occasion de rappeler que c’est Jean-Marie Le Pen qui a offert le FN aux gens qui aujourd’hui l’insultent et s’aplatissent devant le politiquement correct et les mensonges historiques et sont à ce point soumis qu’ils devancent désormais les ordres de l’occupant.
« La Shoah est l’abomination des abominations [sic] et [Jean-Marie Le Pen] est un tract ambulatoire pour [Manuel Valls], c’est désespérant ! »
a craché le franc-maçon antifrançais Gilbert Collard, lui valant comme réponse cinglante de l’ancien président du FN :
« Ferme donc ta gueule, espèce de collard ! »
La suite se déroulera devant les tribunaux : le parquet de Paris, celui qui reste passif devant les pédocriminels de l’Éducation nationale, les gangs de criminels étrangers qui mettent en coupe réglée les cités occupées, qui laisse les parlements aux mains des corrompus et des traîtres a, dès hier, annoncé avoir ouvert une enquête. Ce pourrait l’occasion pour les associations de racket mémoriel de remplir leurs comptes en banque : lors de son premier procès sur le détail, Jean-Marie Le Pen avait été condamné à verser plus d’un million de francs aux associations antifrançaises.